Dénonçant des hausses successives des prix des carburants qui ont eu un impact significatif sur les équilibres financiers des chauffeurs des taxis, souffrant depuis deux ans des répercussions de la pandémie, ces professionnels ont organisé dernièrement plusieurs manifestations.
Ainsi, pour pallier l’impact de la flambée des prix et répondre à certaines doléances des taximen, la capacité des grands taxis a été revue à la hausse. Une décision qui témoigne d’une grande amélioration de la situation épidémiologique.
Réunis pour étudier l’impact de la hausse des prix des carburants sur leur branche d’activité, les syndicats représentants des grands taxis se sont dits « inquiets des répercussions de ces augmentations successives sur l’avenir de leur activité, alors que l’ensemble du secteur routier pâtit depuis plusieurs mois», nous indique Nabil Lhoum, secrétaire général de l’Union Générale des Travailleurs Unionistes du Maroc (UGTUM), ajoutant qu’à l’issue de cette rencontre, il est désormais permis aux grands taxis de transporter six passagers au lieu de cinq, comme a été précédemment décidé dans le cadre des mesures préventives pour contrer la pandémie.
A cet égard, les walis et gouverneurs de plusieurs wilayas et préfectures du Royaume ont d’ores et déjà autorisé les taxis et les bus à transporter 100% de leur capacité. En revanche, un certain nombre de citoyens ont exprimé leur colère face au maintien de nombreux grands taxis du même prix appliqué lors du transport de cinq passagers alors qu’ils transportent désormais six, une tarification qui n’a plus raison d’être avec la hausse de la capacité des grands taxis. Ce qu’ils considèrent comme illégal et nécessitant l’intervention des autorités compétentes.
« Actuellement, il n y a pas de décision officielle de l’Intérieur concernant les tarifs des grands taxis, toutefois, les syndicats ont recommandé l’adoption des tarifs d’avant Covid », soit 5 dirhams pour une distance inférieure à 5 Km, et il revient au citoyen de « refuser tout autre tarif imposé illégalement par certains chauffeurs », relève Nabil Lhoum.
A ce propos, le président de la Fédération nationale des associations du consommateur (FNAC), Ouadie Madih, explique que ces tarifs sont régis par des lois mais qu’il existe un manque en matière de veille sur leur application.
Il est à noter que les professionnels des taxis, ainsi que les autres professionnels du transport, se sont engagés dans une grève nationale de trois jours à partir du 7 mars, sous réserve de prolongation, pour protester contre la hausse des prix des carburants. Cet appel à la grève intervient malgré les rounds de discussions menés par le ministère du Transport avec des syndicats et des fédérations des transporteurs routiers.
Ainsi, pour pallier l’impact de la flambée des prix et répondre à certaines doléances des taximen, la capacité des grands taxis a été revue à la hausse. Une décision qui témoigne d’une grande amélioration de la situation épidémiologique.
Réunis pour étudier l’impact de la hausse des prix des carburants sur leur branche d’activité, les syndicats représentants des grands taxis se sont dits « inquiets des répercussions de ces augmentations successives sur l’avenir de leur activité, alors que l’ensemble du secteur routier pâtit depuis plusieurs mois», nous indique Nabil Lhoum, secrétaire général de l’Union Générale des Travailleurs Unionistes du Maroc (UGTUM), ajoutant qu’à l’issue de cette rencontre, il est désormais permis aux grands taxis de transporter six passagers au lieu de cinq, comme a été précédemment décidé dans le cadre des mesures préventives pour contrer la pandémie.
A cet égard, les walis et gouverneurs de plusieurs wilayas et préfectures du Royaume ont d’ores et déjà autorisé les taxis et les bus à transporter 100% de leur capacité. En revanche, un certain nombre de citoyens ont exprimé leur colère face au maintien de nombreux grands taxis du même prix appliqué lors du transport de cinq passagers alors qu’ils transportent désormais six, une tarification qui n’a plus raison d’être avec la hausse de la capacité des grands taxis. Ce qu’ils considèrent comme illégal et nécessitant l’intervention des autorités compétentes.
« Actuellement, il n y a pas de décision officielle de l’Intérieur concernant les tarifs des grands taxis, toutefois, les syndicats ont recommandé l’adoption des tarifs d’avant Covid », soit 5 dirhams pour une distance inférieure à 5 Km, et il revient au citoyen de « refuser tout autre tarif imposé illégalement par certains chauffeurs », relève Nabil Lhoum.
A ce propos, le président de la Fédération nationale des associations du consommateur (FNAC), Ouadie Madih, explique que ces tarifs sont régis par des lois mais qu’il existe un manque en matière de veille sur leur application.
Il est à noter que les professionnels des taxis, ainsi que les autres professionnels du transport, se sont engagés dans une grève nationale de trois jours à partir du 7 mars, sous réserve de prolongation, pour protester contre la hausse des prix des carburants. Cet appel à la grève intervient malgré les rounds de discussions menés par le ministère du Transport avec des syndicats et des fédérations des transporteurs routiers.