Les suites tragiques des tentatives d’immigration clandestine ne cessent de revenir à l’actualité. Il y a quelques jours, les Marocains réagissent avec empathie au cri de cœur des familles d’une cinquantaine de migrants marocains, portés disparus au large des côtes Sud du Royaume depuis dimanche 11 juin, après avoir tenté de joindre l’Archipel canarien à bord d’une embarcation clandestine. Leur sort reste encore méconnu.
Bien qu’à ce jour aucun détail sur les circonstances de la disparition de ces migrants n’a été révélé, des informations communiquées par la section du Parti socialiste unifié (PSU) de Kelaât Sraghna font savoir qu’il s’agit de jeunes originaires de la ville d’El Attaouia, près de Marrakech, qui, sous l’effet de la vulnérabilité et du désespoir, se sont laissés tenter par la périlleuse aventure de la traversée vers l’Europe.
Selon les informations fournies par un membre de la famille d’un des migrants à l’AFP, ces migrants « étaient censés prendre une embarcation de migration clandestine au large d’Agadir à destination des îles Canaries le dimanche 11 juin à l’aube ».
Des proches de ces migrants ont expliqué que ces derniers sont âgés entre 20 et 30 ans dont des femmes, y compris deux jeunes âgées de moins de 18 ans. Pour arriver aux Iles Canaries, ils ont dû verser 40.000 dirhams chacun au réseau d’intermédiaires de la migration clandestine.
D’ailleurs, des médias et des activistes ont avancé l’hypothèse que ce drame soit lié au naufrage d’une embarcation de migrants à environ 160 km des côtes de l’île de Grande Canarie. Un total de 39 personnes, dont quatre femmes et un bébé, ont péri dans ce naufrage.
Face à l’inquiétude des familles, l’Association Marocaine des Droits Humains (AMDH) a appelé jeudi les autorités à «enquêter et intervenir immédiatement pour révéler le sort de ces jeunes migrants».
L’ONG de défense des droits de l’Homme au Maroc les a exhortées à «identifier les réseaux de traite d’êtres humains et de migration irrégulière qui ont causé et continuent de causer de grandes tragédies».
Il est à noter que les autorités marocaines ont déjoué 25.519 tentatives d’émigration irrégulière durant les cinq premiers mois de l’année 2023. En 2022, 70.781 tentatives avaient été avortées, selon le ministère de l’Intérieur.
Bien qu’à ce jour aucun détail sur les circonstances de la disparition de ces migrants n’a été révélé, des informations communiquées par la section du Parti socialiste unifié (PSU) de Kelaât Sraghna font savoir qu’il s’agit de jeunes originaires de la ville d’El Attaouia, près de Marrakech, qui, sous l’effet de la vulnérabilité et du désespoir, se sont laissés tenter par la périlleuse aventure de la traversée vers l’Europe.
Selon les informations fournies par un membre de la famille d’un des migrants à l’AFP, ces migrants « étaient censés prendre une embarcation de migration clandestine au large d’Agadir à destination des îles Canaries le dimanche 11 juin à l’aube ».
Des proches de ces migrants ont expliqué que ces derniers sont âgés entre 20 et 30 ans dont des femmes, y compris deux jeunes âgées de moins de 18 ans. Pour arriver aux Iles Canaries, ils ont dû verser 40.000 dirhams chacun au réseau d’intermédiaires de la migration clandestine.
D’ailleurs, des médias et des activistes ont avancé l’hypothèse que ce drame soit lié au naufrage d’une embarcation de migrants à environ 160 km des côtes de l’île de Grande Canarie. Un total de 39 personnes, dont quatre femmes et un bébé, ont péri dans ce naufrage.
Face à l’inquiétude des familles, l’Association Marocaine des Droits Humains (AMDH) a appelé jeudi les autorités à «enquêter et intervenir immédiatement pour révéler le sort de ces jeunes migrants».
L’ONG de défense des droits de l’Homme au Maroc les a exhortées à «identifier les réseaux de traite d’êtres humains et de migration irrégulière qui ont causé et continuent de causer de grandes tragédies».
Il est à noter que les autorités marocaines ont déjoué 25.519 tentatives d’émigration irrégulière durant les cinq premiers mois de l’année 2023. En 2022, 70.781 tentatives avaient été avortées, selon le ministère de l’Intérieur.
