C’est ce qu’a déclaré le directeur de la filiale marocaine, Khalid Qalam, à Reuters mercredi dernier. La construction de l’usine s’inscrit dans le cadre d'un accord d’investissement de 6,5 milliards de dollars signé avec le gouvernement marocain en juin dernier.
Selon le responsable, l’usine aura une capacité de 20 gigawatts dans une première phase estimée à 1,3 milliard de dollars. La seconde phase verra une augmentation de capacité vers 40 gigawatts.
L’usine produira des cathodes et des anodes en plus de batteries avec l’intention d’exporter l’essentiel de la production vers l’Europe. « Nous avons déjà reçu des commandes de plusieurs constructeurs automobiles européens », précise la même source.
Cet accord s’aligne avec la politique marocaine d’expansion de son secteur automobile. Le pays abrite des usines des constructeurs Stellantis et Renault. Le Maroc s’ouvre, en plus des batteries, à la production d’anodes, comme en témoigne l’accord entre Falcon Energy Materials et Fluoralpha pour installer une usine d’anodes en graphite annoncé mardi.
Selon le responsable, l’usine aura une capacité de 20 gigawatts dans une première phase estimée à 1,3 milliard de dollars. La seconde phase verra une augmentation de capacité vers 40 gigawatts.
L’usine produira des cathodes et des anodes en plus de batteries avec l’intention d’exporter l’essentiel de la production vers l’Europe. « Nous avons déjà reçu des commandes de plusieurs constructeurs automobiles européens », précise la même source.
Cet accord s’aligne avec la politique marocaine d’expansion de son secteur automobile. Le pays abrite des usines des constructeurs Stellantis et Renault. Le Maroc s’ouvre, en plus des batteries, à la production d’anodes, comme en témoigne l’accord entre Falcon Energy Materials et Fluoralpha pour installer une usine d’anodes en graphite annoncé mardi.