
Cette réunion, à laquelle ont pris part les membres du Conseil, des ministres et de hauts responsables de Slovénie, de France, du Chili et de Brunei Darussalam, en présence de l'Envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour la sécurité routière, Jean Todt, et de M. Etienne Krug, représentant du Directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), ainsi que de représentants de l'UNRSF, de la Commission Economique des Nations Unies pour l'Europe (CEE-ONU) et de la Fondation internationale de l'automobile, intervient quelques mois après la 4è Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière, qui s'est tenue en février à Marrakech.
Dans son allocution d’ouverture, M. Kayouh a remercié les membres du Conseil, l'Envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies et à tous les organismes onusiens compétents pour la confiance qu'ils lui ont accordée, et à travers lui au Royaume du Maroc, pour présider ce Conseil qui décide de la gestion du Fonds des Nations Unies pour la sécurité routière, lequel a financé jusqu'à présent des projets dans près de 100 pays à travers le monde, notamment dans les pays en développement.
Le ministre a souligné l'engagement du Royaume du Maroc dans les efforts internationaux pour faire face à l’insécurité routière, mettant l’accent sur l’accueil par le Royaume de la 4è Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière et la Déclaration de Marrakech, qui représente une étape importante pour faire de la sécurité routière une priorité politique, assurer un financement durable et exhorter à une action forte pour réduire les décès sur les routes d’ici 2030.
Il a également mis en avant la contribution du Maroc à l’UNRSF, qui est un outil essentiel pour soutenir les projets pertinents, soulignant que le Royaume est fier d’être un donateur de ce fonds et de soutenir la mise en œuvre des priorités convenues à Marrakech, sachant que les mécanismes de financement demeurent essentiels et nécessaires.
M. Kayouh a rappelé la remise du Prix du Roi Mohammed VI pour la sécurité routière à l'UNRSF. "Ce prix témoigne de notre conviction quant au pouvoir du Fonds de soutenir des projets vitaux", a-t-il affirmé.
Il a aussi relevé l’importance de la Déclaration de Marrakech qui a souligné plusieurs domaines d’action : "améliorer les lois et les infrastructures routières, promouvoir des transports sûrs et propres comme la marche, le vélo et les transports publics, et utiliser l'innovation et la technologie. Elle encourage également la coopération internationale et le partage des bonnes pratiques".
Cette réunion a été marquée par la présentation du Rapport annuel 2024 de l’UNRSF qui offre un aperçu des progrès réalisés pour faire face à une crise de la sécurité routière qui s'aggrave, montrant comment des interventions ciblées, malgré des ressources limitées, comblent d'importantes lacunes législatives, réglementaires et de renforcement des capacités dans les pays à forte charge. Le rapport met en évidence les contributions de l’UNRSF dans la promotion de la sécurité routière dans près de 100 pays, depuis sa création en 2019.
(Avec MAP)
Dans le cadre de la mise à jour de l’évaluation indépendante de 2025, les participants ont également discuté des priorités de financement potentielles et proposées, des échéanciers, ainsi que du seuil financier.
Cette évaluation s'inscrit dans un effort plus large visant à intégrer la redevabilité, la transparence et l'apprentissage continu.
Dans son allocution d’ouverture, M. Kayouh a remercié les membres du Conseil, l'Envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies et à tous les organismes onusiens compétents pour la confiance qu'ils lui ont accordée, et à travers lui au Royaume du Maroc, pour présider ce Conseil qui décide de la gestion du Fonds des Nations Unies pour la sécurité routière, lequel a financé jusqu'à présent des projets dans près de 100 pays à travers le monde, notamment dans les pays en développement.
Le ministre a souligné l'engagement du Royaume du Maroc dans les efforts internationaux pour faire face à l’insécurité routière, mettant l’accent sur l’accueil par le Royaume de la 4è Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière et la Déclaration de Marrakech, qui représente une étape importante pour faire de la sécurité routière une priorité politique, assurer un financement durable et exhorter à une action forte pour réduire les décès sur les routes d’ici 2030.
Il a également mis en avant la contribution du Maroc à l’UNRSF, qui est un outil essentiel pour soutenir les projets pertinents, soulignant que le Royaume est fier d’être un donateur de ce fonds et de soutenir la mise en œuvre des priorités convenues à Marrakech, sachant que les mécanismes de financement demeurent essentiels et nécessaires.
M. Kayouh a rappelé la remise du Prix du Roi Mohammed VI pour la sécurité routière à l'UNRSF. "Ce prix témoigne de notre conviction quant au pouvoir du Fonds de soutenir des projets vitaux", a-t-il affirmé.
Il a aussi relevé l’importance de la Déclaration de Marrakech qui a souligné plusieurs domaines d’action : "améliorer les lois et les infrastructures routières, promouvoir des transports sûrs et propres comme la marche, le vélo et les transports publics, et utiliser l'innovation et la technologie. Elle encourage également la coopération internationale et le partage des bonnes pratiques".
Cette réunion a été marquée par la présentation du Rapport annuel 2024 de l’UNRSF qui offre un aperçu des progrès réalisés pour faire face à une crise de la sécurité routière qui s'aggrave, montrant comment des interventions ciblées, malgré des ressources limitées, comblent d'importantes lacunes législatives, réglementaires et de renforcement des capacités dans les pays à forte charge. Le rapport met en évidence les contributions de l’UNRSF dans la promotion de la sécurité routière dans près de 100 pays, depuis sa création en 2019.
(Avec MAP)
Dans le cadre de la mise à jour de l’évaluation indépendante de 2025, les participants ont également discuté des priorités de financement potentielles et proposées, des échéanciers, ainsi que du seuil financier.
Cette évaluation s'inscrit dans un effort plus large visant à intégrer la redevabilité, la transparence et l'apprentissage continu.