
« Ce projet d'envergure contribuera à l’émergence d’une zone nord-ouest africaine intégrée, à l’accélération de l'accès de l’Afrique de l’ouest à l’énergie et également l’accélération des projets d’électrification au profit des populations », explique Benkhadra, lors d'un panel sous le thème "une nouvelle vision pour accélérer la production et l'investissement dans un contexte de transition énergétique", dans le cadre de la deuxième édition de la Conférence des pays membres du bassin sédimentaire "MSGBC Oil, Gas & Power", organisée par Energy Capital & Power (Ecp).
Benkhadra a précisé que « le gazoduc Maroc-Nigéria vise également la création d’un marché régional compétitif de l'électricité, l’exploitation d’une énergie propre, la contribution au développement industriel et économique de tous les pays traversés à travers le développement de plusieurs secteurs tels que l’agriculture, l’industrie, les mines, la réduction du torchage, ainsi que l’exportation de gaz en Europe ».
Dans le même sillage, Benkhadra a affirmé que ce mégaprojet, qui traverse 13 pays sur la façade atlantique et inclura 3 pays enclavés, aura un impact positif direct sur plus de 340 millions d’habitants, notant que l’ensemble des pays traversés seront intégrés dans l’étude et le développement de ce projet.
L’une des finalités de ce projet continental pour la Directrice générale de l’ONHYM réside dans le renforcement d’un modèle de développement durable, avec les énergies renouvelables et le gaz, notant que ce continent dispose d’un immense potentiel en énergies renouvelables et en gaz qui reste inexploité.
« Les ressources sont disponibles et diversifiées et les énergies renouvelables offrent de réelles perspectives pour un développement électrique faiblement carboné », a-t-elle soutenu, relevant qu'il est indispensable de faciliter le financement des infrastructures et le développement des partenariats gagnant-gagnant.
Benkhadra a précisé que « le gazoduc Maroc-Nigéria vise également la création d’un marché régional compétitif de l'électricité, l’exploitation d’une énergie propre, la contribution au développement industriel et économique de tous les pays traversés à travers le développement de plusieurs secteurs tels que l’agriculture, l’industrie, les mines, la réduction du torchage, ainsi que l’exportation de gaz en Europe ».
Dans le même sillage, Benkhadra a affirmé que ce mégaprojet, qui traverse 13 pays sur la façade atlantique et inclura 3 pays enclavés, aura un impact positif direct sur plus de 340 millions d’habitants, notant que l’ensemble des pays traversés seront intégrés dans l’étude et le développement de ce projet.
L’une des finalités de ce projet continental pour la Directrice générale de l’ONHYM réside dans le renforcement d’un modèle de développement durable, avec les énergies renouvelables et le gaz, notant que ce continent dispose d’un immense potentiel en énergies renouvelables et en gaz qui reste inexploité.
« Les ressources sont disponibles et diversifiées et les énergies renouvelables offrent de réelles perspectives pour un développement électrique faiblement carboné », a-t-elle soutenu, relevant qu'il est indispensable de faciliter le financement des infrastructures et le développement des partenariats gagnant-gagnant.