Dans son mot d’ouverture de ce séminaire, le général de Division aérienne, Inspecteur des Forces Royales Air, a été très explicite : « Le commandement des FRA déploie des efforts incommensurables pour assurer la sécurité aérienne à travers des mesures organisationnelles claires et des implémentations techniques se conformant aux normes, standards et bonnes pratiques». Toutefois, l’application et la mise en pratique du dispositif mis en place se heurte à des difficultés inhérentes au facteur humain.
Ce facteur est un élément indispensable à prendre en compte à tous les niveaux de la chaîne de sécurité aérienne. Car, la majorité des accidents aéronautiques ont une cause humaine, fait-on observer. Ainsi, un effort spécial doit être mis en oeuvre afin de prévenir les erreurs humaines.
Cet effort doit être axé sur le comportement de chacun des intervenants de la chaîne afin de construire une zone efficace de compréhension commune, déterminée par l’interaction entre l’humain, le matériel, les procédures et l’environnement. Ce premier séminaire a été l’occasion de passer en revue un certain nombre de sujets relatifs à la sécurité aérienne pour jeter la lumière sur les zones d’ombre et remédier à certains comportements acquis sous l’effet de l’habitude.
Les interventions des différents officiers chargés de la sécurité aérienne (OSA) au sein des FRA se sont surtout appuyées sur la capitalisation des retours d’expérience (RETEX) des Forces Royales Air et des autres Forces Aériennes des pays étrangers.
Vu que la principale cause des accidents aériens est liée à des défaillances de la performance humaine, le séminaire s’est focalisé sur la sensibilisation contre ces défaillances, en l’occurrence la méconnaissance de soi, de l’appareil et de l’environnement, l’inconscience et la mauvaise préparation de la mission, la dégradation des performances physiques et mentales du personnel, la mauvaise prise de décision face au risque associé, ainsi que le nonrespect de la réglementation et des consignes en vigueur, sans oublier le non-repect des normes, voire l’indiscipline en vol. Les séminaristes ont traité également des facteurs de risque qui compromettent la sécurité aérienne.
Parmi ces facteurs, on recense la charge de travail qui est un facteur de risque important en raison de l’impact négatif qu’il peut avoir sur la santé physique et psychologique des équipages.
Le poids de cette charge rend les équipages vulnérables. Il peut affecter une partie ou la totalité de leurs capacités, diminuer leur vigilance et être à l’origine des oublis ou des erreurs. La surchage impacte aussi la santé physique et psychologique du personnel (fatigue, stress, épuisement, manque de concentration, etc.)
Ce facteur est un élément indispensable à prendre en compte à tous les niveaux de la chaîne de sécurité aérienne. Car, la majorité des accidents aéronautiques ont une cause humaine, fait-on observer. Ainsi, un effort spécial doit être mis en oeuvre afin de prévenir les erreurs humaines.
Cet effort doit être axé sur le comportement de chacun des intervenants de la chaîne afin de construire une zone efficace de compréhension commune, déterminée par l’interaction entre l’humain, le matériel, les procédures et l’environnement. Ce premier séminaire a été l’occasion de passer en revue un certain nombre de sujets relatifs à la sécurité aérienne pour jeter la lumière sur les zones d’ombre et remédier à certains comportements acquis sous l’effet de l’habitude.
Les interventions des différents officiers chargés de la sécurité aérienne (OSA) au sein des FRA se sont surtout appuyées sur la capitalisation des retours d’expérience (RETEX) des Forces Royales Air et des autres Forces Aériennes des pays étrangers.
Vu que la principale cause des accidents aériens est liée à des défaillances de la performance humaine, le séminaire s’est focalisé sur la sensibilisation contre ces défaillances, en l’occurrence la méconnaissance de soi, de l’appareil et de l’environnement, l’inconscience et la mauvaise préparation de la mission, la dégradation des performances physiques et mentales du personnel, la mauvaise prise de décision face au risque associé, ainsi que le nonrespect de la réglementation et des consignes en vigueur, sans oublier le non-repect des normes, voire l’indiscipline en vol. Les séminaristes ont traité également des facteurs de risque qui compromettent la sécurité aérienne.
Parmi ces facteurs, on recense la charge de travail qui est un facteur de risque important en raison de l’impact négatif qu’il peut avoir sur la santé physique et psychologique des équipages.
Le poids de cette charge rend les équipages vulnérables. Il peut affecter une partie ou la totalité de leurs capacités, diminuer leur vigilance et être à l’origine des oublis ou des erreurs. La surchage impacte aussi la santé physique et psychologique du personnel (fatigue, stress, épuisement, manque de concentration, etc.)
