L’ancienne mauvaise politique du va-et-vient des entraineurs est de nouveau à l’ordre du jour du comité de l’IRT.
En effet, Miguel Angel Gamondi et son adjoint Tarek Chihab viennent d’être limogés pour mauvais résultats.
Ainsi, pour la saison 2021-22, l’équipe tangéroise a connu trois changements de managers sur le banc de touche : le Français Gazoli, l’Argentin Gamondi et l’Espagnol Pedro Ben Ali.
Une moyenne de trois mois pour chaque coach, est-ce du divertissement, est-ce de la distraction, est-ce du manque du sérieux ou est-ce seulement un caprice.
Dans cette décision, la commission technique qui est constituée de membres incompétents en football, est pointée du doigt.
A vrai dire, selon la presse sportive de la ville qui, malheureusement, n’a jamais été consultée à ce sujet, les décisions improvisées sont prises à tort et à travers.
Le président du club Mohamed Ahkane et ses proches collaborateurs lui font confiance aveuglément. Sans aucune réflexion sur le choix du profil adéquat pour le moment, le choix vient d’être porté sur Pedro Ben Ali un entraineur qui retourne à ses premières amours.
Le sauveur de l’IRT de la relégation, la saison écoulée, aurait pu rester à son poste, s’il n’y avait pas eu de précipitation de l’ancien comité Aberchane. S’il avait été maintenu à la direction technique, l’équipe aurait connu la stabilité et la continuité deux facteurs nécessaires à la bonne marche de l’IRT au championnat.
Une chose est claire : l’effectif joueurs a été très mal renforcé par des footballeurs peu nécessaires sans aucun souci des exigences des postes. Pour une entente à l’amiable, aussi bien Gazoli que Gamondi ainsi que leurs adjoints, ont eu droit à des indemnités de résiliation de contrat.
Cela coûte bien sûr beaucoup d’argent et dire que l’IRT est endetté et sans ressources financières après le départ de plusieurs sponsors. Le problème de gestion d’une formation professionnelle mérite la réflexion.
Encore une fois, le manque de transparence dans tout ce qui touche de près ou de loin les affaires du club, est la volonté de tous les dirigeants qui n’ont aucune politique de communication avec les médias.
Des communiqués flous de remerciements au wali pour son soutien ou des félicitations au maire arrivent à la presse. Pire encore, la dernière réunion du comité avec les joueurs autour d’un ftour organisé dans un hôtel pour motiver l’effectif (avec comme toujours l’absence des journalistes !) a fait couler beaucoup d’encre : absence de plusieurs joueurs pour des raisons inconnues. La presse attend toujours des explications de ce fiasco.
Quant à la formation des jeunes, il vaut mieux ne pas en parler car elle va dans un mauvais chemin. Défaite après défaite, l’IRT espoirs ne cesse de grignoter le pain noir. Toutes les semaines, il y a un nouvel entraineur sur le banc de touche.
Toujours dans le cadre de la mauvaise gestion technique, l’ex entraineur de l’IRT d’il y a plus d’une dizaine d’années Aziz Khayati est engagé comme entraineur sans portefeuille.
En effet, Miguel Angel Gamondi et son adjoint Tarek Chihab viennent d’être limogés pour mauvais résultats.
Ainsi, pour la saison 2021-22, l’équipe tangéroise a connu trois changements de managers sur le banc de touche : le Français Gazoli, l’Argentin Gamondi et l’Espagnol Pedro Ben Ali.
Une moyenne de trois mois pour chaque coach, est-ce du divertissement, est-ce de la distraction, est-ce du manque du sérieux ou est-ce seulement un caprice.
Dans cette décision, la commission technique qui est constituée de membres incompétents en football, est pointée du doigt.
A vrai dire, selon la presse sportive de la ville qui, malheureusement, n’a jamais été consultée à ce sujet, les décisions improvisées sont prises à tort et à travers.
Le président du club Mohamed Ahkane et ses proches collaborateurs lui font confiance aveuglément. Sans aucune réflexion sur le choix du profil adéquat pour le moment, le choix vient d’être porté sur Pedro Ben Ali un entraineur qui retourne à ses premières amours.
Le sauveur de l’IRT de la relégation, la saison écoulée, aurait pu rester à son poste, s’il n’y avait pas eu de précipitation de l’ancien comité Aberchane. S’il avait été maintenu à la direction technique, l’équipe aurait connu la stabilité et la continuité deux facteurs nécessaires à la bonne marche de l’IRT au championnat.
Une chose est claire : l’effectif joueurs a été très mal renforcé par des footballeurs peu nécessaires sans aucun souci des exigences des postes. Pour une entente à l’amiable, aussi bien Gazoli que Gamondi ainsi que leurs adjoints, ont eu droit à des indemnités de résiliation de contrat.
Cela coûte bien sûr beaucoup d’argent et dire que l’IRT est endetté et sans ressources financières après le départ de plusieurs sponsors. Le problème de gestion d’une formation professionnelle mérite la réflexion.
Encore une fois, le manque de transparence dans tout ce qui touche de près ou de loin les affaires du club, est la volonté de tous les dirigeants qui n’ont aucune politique de communication avec les médias.
Des communiqués flous de remerciements au wali pour son soutien ou des félicitations au maire arrivent à la presse. Pire encore, la dernière réunion du comité avec les joueurs autour d’un ftour organisé dans un hôtel pour motiver l’effectif (avec comme toujours l’absence des journalistes !) a fait couler beaucoup d’encre : absence de plusieurs joueurs pour des raisons inconnues. La presse attend toujours des explications de ce fiasco.
Quant à la formation des jeunes, il vaut mieux ne pas en parler car elle va dans un mauvais chemin. Défaite après défaite, l’IRT espoirs ne cesse de grignoter le pain noir. Toutes les semaines, il y a un nouvel entraineur sur le banc de touche.
Toujours dans le cadre de la mauvaise gestion technique, l’ex entraineur de l’IRT d’il y a plus d’une dizaine d’années Aziz Khayati est engagé comme entraineur sans portefeuille.