Intervenant en marge du Salon Halieutis, Driouch a expliqué que cette augmentation est principalement due à la période de repos biologique imposée aux espèces halieutiques, réduisant temporairement l’offre. À cela s’ajoutent des facteurs climatiques, notamment le phénomène de « Manzala », des variations des courants marins qui influencent la répartition des poissons et compliquent leur capture.
Cependant, la responsable se veut rassurante. La fin du repos biologique, prévue pour le 15 février, devrait entraîner une reprise des débarquements et un réajustement des prix avant Ramadan. Pour garantir un approvisionnement accessible, le gouvernement lancera également l’initiative « Al Hout Bithaman Maqoul ». Cette opération, couvrant une trentaine de villes, proposera des poissons à des prix encadrés, entre 17 et 100 dirhams le kilogramme, selon les espèces.
Actuellement, le kilo de sardine dépasse les 25 dirhams sur certains marchés, un niveau préoccupant pour les ménages. Mais avec ces mesures, les autorités espèrent calmer les tensions et assurer une stabilité des prix, en réponse aux attentes des consommateurs.
Cependant, la responsable se veut rassurante. La fin du repos biologique, prévue pour le 15 février, devrait entraîner une reprise des débarquements et un réajustement des prix avant Ramadan. Pour garantir un approvisionnement accessible, le gouvernement lancera également l’initiative « Al Hout Bithaman Maqoul ». Cette opération, couvrant une trentaine de villes, proposera des poissons à des prix encadrés, entre 17 et 100 dirhams le kilogramme, selon les espèces.
Actuellement, le kilo de sardine dépasse les 25 dirhams sur certains marchés, un niveau préoccupant pour les ménages. Mais avec ces mesures, les autorités espèrent calmer les tensions et assurer une stabilité des prix, en réponse aux attentes des consommateurs.