Le projet, qui sera lancé dans un an avec un financement de 9 millions de dirhams (824 000 euros) du Japon, vise à aider la communauté scientifique à mieux comprendre les risques sismiques, en particulier dans la région d'Al Haouz qui a été touchée par le tremblement de terre en septembre dernier, ont déclaré les promoteurs du projet lors d'un événement tenu à Rabat.
À cette occasion, une cérémonie de lancement du projet s'est tenue au siège du e Centre National pour la Recherche Scientifique et Technique (CNRST), et inaugurée par Pr. Abdellatif Miraoui, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation du Maroc, M. Kuramitsu Hideaki, Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Japon au Royaume du Maroc, M. Eric Falt, Directeur et Représentant du Bureau de l’UNESCO pour le Maghreb, et Pr. Jamila El Alami, Directrice du Centre National pour la Recherche Scientifique et Technique.
Le projet vise à renforcer d’avantage les réseaux de surveillance sismique et des capacités des intervenants dans ce domaine ; évaluer les capacités des institutions, parties prenantes et partenaires ; organiser des ateliers de formation au Maroc et au Japon ; évaluer les systèmes d’alerte précoce et l’identification des besoins pour l’extension géographique ainsi que les lacunes opérationnelles et techniques.
À cette occasion, une cérémonie de lancement du projet s'est tenue au siège du e Centre National pour la Recherche Scientifique et Technique (CNRST), et inaugurée par Pr. Abdellatif Miraoui, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation du Maroc, M. Kuramitsu Hideaki, Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Japon au Royaume du Maroc, M. Eric Falt, Directeur et Représentant du Bureau de l’UNESCO pour le Maghreb, et Pr. Jamila El Alami, Directrice du Centre National pour la Recherche Scientifique et Technique.
Le projet vise à renforcer d’avantage les réseaux de surveillance sismique et des capacités des intervenants dans ce domaine ; évaluer les capacités des institutions, parties prenantes et partenaires ; organiser des ateliers de formation au Maroc et au Japon ; évaluer les systèmes d’alerte précoce et l’identification des besoins pour l’extension géographique ainsi que les lacunes opérationnelles et techniques.