Interpellé par les journalistes lors de la conférence de presse à l’issue du Conseil du gouvernement, le jeudi 18 Novembre, M. Baitas, ministre délégué chargé des relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement, a tenu à rappeler contexte difficile que traverse le secteur agricole depuis l’année dernière, ce qui a amené le gouvernement un mettre en place tout un dispositif de mesures pour soutenir les professionnels .
Aujourd’hui, en raison de la récurrence de la crise qui frappe secteur agricole, notamment la filière de production de lait , l’Exécutif envisage un nouveau train de mesures en soutien à la filière, pour assurer l’approvisionnement normal en produits laitiers, dont l’autoconsommation représente entre 10 à 15 % de la production globale.
Autant dire que le secteur laitier, qui subit une tension sur le circuit d'approvisionnement du le marché intérieur, nécessité des mesures d’intervention concertées pour assurer un retour à la normalité.
Dans ce sens, Mustapha Baitas fait remarquer que «le gouvernement agit dans un contexte qui ne lui facilite guère la tâche. « Là où on pose la main, il y a des problématiques complexes ». Mais,a-t-il souligné, le gouvernement s’efforce de mener sa gestion selon les priorités, notamment en ce qui concerne le soutien accordé aux producteurs pour préserver les acquis.
Pour répondre au questionnement des journalistes, le ministre a fait observer que la faible production de lait est liée à la crise saisonnière. Il a expliqué que : « l’année précédente était l’une des années les plus difficiles pour le secteur. Et pourtant, et parce qu’on a un système agricole qui a fait l’objet d’un travail structurel soutenu et d’investissements sur plusieurs années, « nous avons pu fournir une quantité importante de produits au pays et préserver un certain niveau en ce qui concerne les exportations malgré la crise d’eau».
Mais pour faire face à la conjoncture actuelle, a dit le ministre, de nouvelles mesures sont envisagées par les autorités. Baitas a indiqué que le gouvernement travaille sur ce dossier et qu’il y a plusieurs solutions qui sont en train d’être discutées.
Il conclut : «On a dépassé la phase de discussion avec les professionnels de la filière de lait. Aujourd’hui on est en phase de mettre les dernières touches pour lancer les mécanismes qui vont permettre de produire cette matière de manière normale».
Aujourd’hui, en raison de la récurrence de la crise qui frappe secteur agricole, notamment la filière de production de lait , l’Exécutif envisage un nouveau train de mesures en soutien à la filière, pour assurer l’approvisionnement normal en produits laitiers, dont l’autoconsommation représente entre 10 à 15 % de la production globale.
Autant dire que le secteur laitier, qui subit une tension sur le circuit d'approvisionnement du le marché intérieur, nécessité des mesures d’intervention concertées pour assurer un retour à la normalité.
Dans ce sens, Mustapha Baitas fait remarquer que «le gouvernement agit dans un contexte qui ne lui facilite guère la tâche. « Là où on pose la main, il y a des problématiques complexes ». Mais,a-t-il souligné, le gouvernement s’efforce de mener sa gestion selon les priorités, notamment en ce qui concerne le soutien accordé aux producteurs pour préserver les acquis.
Pour répondre au questionnement des journalistes, le ministre a fait observer que la faible production de lait est liée à la crise saisonnière. Il a expliqué que : « l’année précédente était l’une des années les plus difficiles pour le secteur. Et pourtant, et parce qu’on a un système agricole qui a fait l’objet d’un travail structurel soutenu et d’investissements sur plusieurs années, « nous avons pu fournir une quantité importante de produits au pays et préserver un certain niveau en ce qui concerne les exportations malgré la crise d’eau».
Mais pour faire face à la conjoncture actuelle, a dit le ministre, de nouvelles mesures sont envisagées par les autorités. Baitas a indiqué que le gouvernement travaille sur ce dossier et qu’il y a plusieurs solutions qui sont en train d’être discutées.
Il conclut : «On a dépassé la phase de discussion avec les professionnels de la filière de lait. Aujourd’hui on est en phase de mettre les dernières touches pour lancer les mécanismes qui vont permettre de produire cette matière de manière normale».