La galerie de l’institut français d’El Jadida (IFJ) a vécu vendredi 22/07/2022 au rythme du vernissage d’une exposition collective, organisée sous le thème « Un rêve utopique par un pinceau photographique », des artistes Abdelkader Baddou et Youssef Belhamdounia. « Nous sommes réjouis ce soir de toute cette panoplie de magnifiques portraits signés Abdelkader Baddou et Youssef Belhamdounia, qui ornent notre galerie, indique la directrice de l’IFJ, ajoutant que ces peintures homogènes en mouvement, avec des touches artistiques de nature plastique, nous donnent l’impression qu’elles sont peintes avec un pinceau. »
Mêlant des images en noir et blanc mythiques et d’autres photographies en couleurs pour la plupart inédites, cette exposition rassemble des dizaines de photographies illustrant la notion de mouvement. Membre de nombreuses Associations, Abdelkader a été témoin d’événements marquants l’année en cours. Il est aussi l’auteur de nombreux portraits devenus icônes, mondialement connus et primés, l’artiste Jdidi conserve une véritable fascination pour le mouvement.
Élan poétique
« Quel que soit le style retenu, la lumière est mise sur ce mouvement de va-et-vient porté tantôt vers l’extérieur à travers la subjectivité du regard sur le monde, tantôt vers l’intérieur à travers une vision introspective du vécu quotidien », estime le reporter-photographe Aziz El Mehdi. Il s’agit, selon lui, d’images exprimant la révolte envers les codes sociétaux, une poésie des souvenirs, un regard différent sur l’espace urbain, une redécouverte de cette mère nature qui a été négligée voire oubliée ou encore des moments de solitude. « Un appel aux sens, à la mémoire, à la nostalgie, un cri qui nous interroge sur nous-mêmes et dont les photographies exposées nous offrent des instants poétiques et surtout purs et sincères de notre vécu quotidien », relève l’écrivain Chouaib Douib, en commentant les oeuvres de Baddou.
Quant aux toiles de Youssef Belhamdounia, l’on peut facilement constater que ses personnages sont bien choisis et mis en scène dans un décor naturel, tout en beauté. Un fond qui bouge sans quitter la scène qui lui est destiné par l’artiste, un spectacle qui invite et pousse plutôt le visiteur dans un élan poétique à se projeter dans le temps et dans l’espace, pour sortir du cadre afin de lire la suite des mouvements initiés, captés et immortalisés, ce qui nous offre pourtant et d’une façon magique, à travers le génie imperceptible de l’artiste, la possibilité de les suivre en dehors du cadre de la photographie….
Mêlant des images en noir et blanc mythiques et d’autres photographies en couleurs pour la plupart inédites, cette exposition rassemble des dizaines de photographies illustrant la notion de mouvement. Membre de nombreuses Associations, Abdelkader a été témoin d’événements marquants l’année en cours. Il est aussi l’auteur de nombreux portraits devenus icônes, mondialement connus et primés, l’artiste Jdidi conserve une véritable fascination pour le mouvement.
Élan poétique
« Quel que soit le style retenu, la lumière est mise sur ce mouvement de va-et-vient porté tantôt vers l’extérieur à travers la subjectivité du regard sur le monde, tantôt vers l’intérieur à travers une vision introspective du vécu quotidien », estime le reporter-photographe Aziz El Mehdi. Il s’agit, selon lui, d’images exprimant la révolte envers les codes sociétaux, une poésie des souvenirs, un regard différent sur l’espace urbain, une redécouverte de cette mère nature qui a été négligée voire oubliée ou encore des moments de solitude. « Un appel aux sens, à la mémoire, à la nostalgie, un cri qui nous interroge sur nous-mêmes et dont les photographies exposées nous offrent des instants poétiques et surtout purs et sincères de notre vécu quotidien », relève l’écrivain Chouaib Douib, en commentant les oeuvres de Baddou.
Quant aux toiles de Youssef Belhamdounia, l’on peut facilement constater que ses personnages sont bien choisis et mis en scène dans un décor naturel, tout en beauté. Un fond qui bouge sans quitter la scène qui lui est destiné par l’artiste, un spectacle qui invite et pousse plutôt le visiteur dans un élan poétique à se projeter dans le temps et dans l’espace, pour sortir du cadre afin de lire la suite des mouvements initiés, captés et immortalisés, ce qui nous offre pourtant et d’une façon magique, à travers le génie imperceptible de l’artiste, la possibilité de les suivre en dehors du cadre de la photographie….
Mohamed LOKHNATI