Selon des informations relayées par les médias internationaux, le Maroc a décidé de lancer dans l'espace des satellites d'observation supplémentaires. À cette fin, il a choisi un nombre limité d'entreprises concernées, qui présenteront leurs suggestions.
En 2001, le Maroc a décidé de mettre à niveau ses capacités spatiales, qui comprenaient alors deux satellites d'observation pour des missions de sécurité. Les satellites ont été lancés en 2001 et en 2018.
Un autre satellite, construit par Thales Alenia, a été lancé en novembre 2017 à des fins de recherche et de missions civiles, tels que le contrôle de la météo, du climat et des cultures agricoles. Il a été réalisé à l'aide d'un lanceur de satellites russe.
Le Maroc entretient, par ailleurs, une coopération étroite avec l'Espagne, les États-Unis et la France dans le domaine de la recherche spatiale. À partir de 2019, il a également commencé à coopérer avec l'agence spatiale des Émirats Arabes Unis, ainsi qu'avec l'Union arabe pour l'astronomie et les sciences spatiales.
L'un des leaders africains dans ce domaine, le Maroc s'est inspiré des Émirats Arabes Unis pour élaborer sa stratégie spatiale, en tirant parti de leur expérience. Le programme spatial initial du Maroc a débuté en 1989, avec pour objectif de développer des capacités d'observation pour les utilisateurs gouvernementaux et privés ainsi que pour le monde universitaire.
Le programme est géré par le Centre royal de télédétection spatiale. Divers programmes de recherche sont gérés dans le cadre de l'organisme, tels que la télédétection, les petits satellites, l'exploration spatiale, les technologies médicales, la cybernétique, l'espace en tant que dimension commerciale, ainsi que le droit international et la recherche concernant les questions éthiques et morales en relation avec le domaine de l'espace.
Le Maroc considère son programme spatial comme l'un des éléments les plus importants concourant au développement de l'économie locale, dans les divers domaines : éducation, agriculture, défense, aviation, etc. Dans cette optique, il a développé des projets de fabrication de pièces de moteurs, d'avions et de satellites.
Le Centre royal de télédétection spatiale s’investit également dans des programmes de recherche en prévoyant une aide financière aux jeunes et aux diplômés de l'enseignement secondaire qui s’intéressent au domaine. Au cours des dix dernières années, de nombreux étudiants ont été envoyés du Maroc pour suivre des programmes de spécialisation aux États-Unis et en France, afin d'acquérir les connaissances pertinentes propres à servir au développement du secteur à leur retour au pays.
En 2001, le Maroc a décidé de mettre à niveau ses capacités spatiales, qui comprenaient alors deux satellites d'observation pour des missions de sécurité. Les satellites ont été lancés en 2001 et en 2018.
Un autre satellite, construit par Thales Alenia, a été lancé en novembre 2017 à des fins de recherche et de missions civiles, tels que le contrôle de la météo, du climat et des cultures agricoles. Il a été réalisé à l'aide d'un lanceur de satellites russe.
Le Maroc entretient, par ailleurs, une coopération étroite avec l'Espagne, les États-Unis et la France dans le domaine de la recherche spatiale. À partir de 2019, il a également commencé à coopérer avec l'agence spatiale des Émirats Arabes Unis, ainsi qu'avec l'Union arabe pour l'astronomie et les sciences spatiales.
L'un des leaders africains dans ce domaine, le Maroc s'est inspiré des Émirats Arabes Unis pour élaborer sa stratégie spatiale, en tirant parti de leur expérience. Le programme spatial initial du Maroc a débuté en 1989, avec pour objectif de développer des capacités d'observation pour les utilisateurs gouvernementaux et privés ainsi que pour le monde universitaire.
Le programme est géré par le Centre royal de télédétection spatiale. Divers programmes de recherche sont gérés dans le cadre de l'organisme, tels que la télédétection, les petits satellites, l'exploration spatiale, les technologies médicales, la cybernétique, l'espace en tant que dimension commerciale, ainsi que le droit international et la recherche concernant les questions éthiques et morales en relation avec le domaine de l'espace.
Le Maroc considère son programme spatial comme l'un des éléments les plus importants concourant au développement de l'économie locale, dans les divers domaines : éducation, agriculture, défense, aviation, etc. Dans cette optique, il a développé des projets de fabrication de pièces de moteurs, d'avions et de satellites.
Le Centre royal de télédétection spatiale s’investit également dans des programmes de recherche en prévoyant une aide financière aux jeunes et aux diplômés de l'enseignement secondaire qui s’intéressent au domaine. Au cours des dix dernières années, de nombreux étudiants ont été envoyés du Maroc pour suivre des programmes de spécialisation aux États-Unis et en France, afin d'acquérir les connaissances pertinentes propres à servir au développement du secteur à leur retour au pays.
Yassine ELALAMI
