
Les dix enseignants contractuels, qui avaient été arrêtés le mercredi, font suite à des accusations d'obstruction à la circulation sur la voie publique, d'atteinte aux hommes des forces publique et de violence à leur encontre, et de rassemblement non autorisé.
Selon des médias arabophones, quinze autres enseignants seront présentés au procureur du Roi près le tribunal de première instance de Rabat après avoir été arrêtés, jeudi, lors de la deuxième journée de leur descente nationale dans la capitale.
Suite à l'intervention des forces de l'ordre pour les disperser, a ajouté les mêmes sources, les enseignants contractuels ont décidé, vendredi, de lever leur position de protestation pour éviter de nouvelles arrestations et blessures, dénonçant ce qui avait affecté leurs collègues et appelant à leur libération et à l'arrêt des suivis.
Pour rappel, la coordination nationale des enseignants contractuels avait annoncé, dans un communiqué, une grève nationale du 29 février au 6 mars, afin de protester contre les « simulacres de procès » que subissent ses militants.
La coordination annonce également une grève entre 21 et 23 mars, accompagnée de manifestations au niveau régional. Ces dernières viennent en réponse aux prélèvements salariaux, et au procès « injustes » de certains enseignants, ainsi que pour exiger d’être intégrés à la Fonction publique.
Selon des médias arabophones, quinze autres enseignants seront présentés au procureur du Roi près le tribunal de première instance de Rabat après avoir été arrêtés, jeudi, lors de la deuxième journée de leur descente nationale dans la capitale.
Suite à l'intervention des forces de l'ordre pour les disperser, a ajouté les mêmes sources, les enseignants contractuels ont décidé, vendredi, de lever leur position de protestation pour éviter de nouvelles arrestations et blessures, dénonçant ce qui avait affecté leurs collègues et appelant à leur libération et à l'arrêt des suivis.
Pour rappel, la coordination nationale des enseignants contractuels avait annoncé, dans un communiqué, une grève nationale du 29 février au 6 mars, afin de protester contre les « simulacres de procès » que subissent ses militants.
La coordination annonce également une grève entre 21 et 23 mars, accompagnée de manifestations au niveau régional. Ces dernières viennent en réponse aux prélèvements salariaux, et au procès « injustes » de certains enseignants, ainsi que pour exiger d’être intégrés à la Fonction publique.