Le Parti Authenticité et Modernité (PAM) arrive en tête avec 22 sièges (27 %), suivi de près par le Rassemblement National des Indépendants (RNI) avec 20 sièges (24 %), puis le Parti de l’Istiqlal avec 19 sièges (23 %). Ce résultat s’inscrit dans la continuité de leur percée lors des précédentes législatives partielles, tenues à la suite de l’invalidation du scrutin du 8 septembre 2021 par la Cour constitutionnelle.
Côté opposition, seul le Mouvement Populaire parvient à tirer son épingle du jeu avec 10 sièges (12 %). Les autres partis affichent des scores modestes : le Parti de la Justice et du Développement (PJD) ne décroche que 4 sièges, malgré le retour d'Abdelilah Benkirane à sa tête. L'Union Socialiste des Forces Populaires (USFP) obtient 3 sièges, tandis que le Parti du Progrès et du Socialisme (PPS) se contente d’un seul.
À l’horizon 2026, le Maroc se prépare à de nouvelles élections législatives. D’ici là, le ministère de l’Intérieur entamera des concertations avec les formations politiques afin de réviser les lois électorales en vigueur.
Côté opposition, seul le Mouvement Populaire parvient à tirer son épingle du jeu avec 10 sièges (12 %). Les autres partis affichent des scores modestes : le Parti de la Justice et du Développement (PJD) ne décroche que 4 sièges, malgré le retour d'Abdelilah Benkirane à sa tête. L'Union Socialiste des Forces Populaires (USFP) obtient 3 sièges, tandis que le Parti du Progrès et du Socialisme (PPS) se contente d’un seul.
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