Interrogé par le groupe Istiqlalien « Pour l'Unité et l'Égalitarisme » sur les mesures prises pour booster l’investissement dans le secteur de l’offshoring, Ghita Mezzour a rappelé la place importante de ce secteur pour l’économie nationale, notamment en raison de son potentiel de création d’emplois pour les jeunes. Actuellement, “ce secteur emploie 130.000 personnes, principalement des jeunes, dans différentes régions du Royaume », a affirmé la ministre, notant également que « le volume des exportations du secteur atteint près de 15,7 milliards de dirhams par an ».
La ministre s’est félicitée des progrès significatifs accomplis dans ce secteur, d’autant plus que le Maroc est passé de la troisième place en Afrique à la deuxième place sur le continent dans la délocalisation de services. De plus, le Royaume a amélioré son classement au niveau mondial gagnant 12 places en seulement deux ans, atteignant la 28ème place sur le classement international.
Mezzour a affirmé que la force attractive du Maroc, en tant que destination offshoring, est due essentiellement au soutien du gouvernement aux investisseurs, ainsi qu'à l'existence d'une infrastructure de transport importante, d'espaces dédiés, en l'occurrence de parcs d’activités d'offshoring.
Le Maroc est parvenu à devenir une destination privilégiée pour les opérateurs du nearshoring grâce aux avantages concurrentiels dont il dispose, particulièrement la présence importante de jeunes talents, a-t-elle expliqué. Notre pays forme actuellement près de 13.000 compétences numériques par an et le gouvernement s'efforce d'augmenter considérablement ce nombre, a affirmé la responsable. De plus, l'année universitaire a vu l'ouverture de nouvelles filières en numérisation, Intelligence Artificielle, cybersécurité, et d’autres filières.
L’accès à la connexion Internet ?
Dans une démarche résolue vers une connectivité nationale améliorée, la ministre a rappelé que son département place la connectivité au cœur de sa vision stratégique. Cette vision se concrétise par la mise en œuvre d'un Plan national pour le développement du haut et très haut débit (PNHD), dont l'objectif est d'étendre et d'améliorer la qualité de la connexion Internet sur l'ensemble du territoire marocain.
La première phase du PNHD, qui couvre 10.740 zones territoriales au Maroc sur la période 2018-2023, a atteint un impressionnant taux de réalisation de 97%, s’est réjouie la responsable.
Une deuxième phase est déjà sur les rails, le but étant de combler les lacunes dans les régions insuffisamment desservies. De manière tout aussi proactive, des tests sont prévus le long de 40.000 kilomètres de routes nationales, régionales et provinciales pour évaluer la qualité d'Internet à l'échelle de chaque tronçon, identifiant ainsi les zones nécessitant un renforcement de la couverture Internet, a annoncé la ministre.
Par ailleurs, elle a rappelé que l'État, par le biais du Fonds de Service Universel (FSU), propose une subvention couvrant 50% des frais de service de connexion par satellites. Grâce à cette initiative, 2.300 zones ont déjà bénéficié d'une meilleure connectivité, dans la perspective d’intégrer près de 4.000 zones chaque année.
La ministre s’est félicitée des progrès significatifs accomplis dans ce secteur, d’autant plus que le Maroc est passé de la troisième place en Afrique à la deuxième place sur le continent dans la délocalisation de services. De plus, le Royaume a amélioré son classement au niveau mondial gagnant 12 places en seulement deux ans, atteignant la 28ème place sur le classement international.
Mezzour a affirmé que la force attractive du Maroc, en tant que destination offshoring, est due essentiellement au soutien du gouvernement aux investisseurs, ainsi qu'à l'existence d'une infrastructure de transport importante, d'espaces dédiés, en l'occurrence de parcs d’activités d'offshoring.
Le Maroc est parvenu à devenir une destination privilégiée pour les opérateurs du nearshoring grâce aux avantages concurrentiels dont il dispose, particulièrement la présence importante de jeunes talents, a-t-elle expliqué. Notre pays forme actuellement près de 13.000 compétences numériques par an et le gouvernement s'efforce d'augmenter considérablement ce nombre, a affirmé la responsable. De plus, l'année universitaire a vu l'ouverture de nouvelles filières en numérisation, Intelligence Artificielle, cybersécurité, et d’autres filières.
L’accès à la connexion Internet ?
Dans une démarche résolue vers une connectivité nationale améliorée, la ministre a rappelé que son département place la connectivité au cœur de sa vision stratégique. Cette vision se concrétise par la mise en œuvre d'un Plan national pour le développement du haut et très haut débit (PNHD), dont l'objectif est d'étendre et d'améliorer la qualité de la connexion Internet sur l'ensemble du territoire marocain.
La première phase du PNHD, qui couvre 10.740 zones territoriales au Maroc sur la période 2018-2023, a atteint un impressionnant taux de réalisation de 97%, s’est réjouie la responsable.
Une deuxième phase est déjà sur les rails, le but étant de combler les lacunes dans les régions insuffisamment desservies. De manière tout aussi proactive, des tests sont prévus le long de 40.000 kilomètres de routes nationales, régionales et provinciales pour évaluer la qualité d'Internet à l'échelle de chaque tronçon, identifiant ainsi les zones nécessitant un renforcement de la couverture Internet, a annoncé la ministre.
Par ailleurs, elle a rappelé que l'État, par le biais du Fonds de Service Universel (FSU), propose une subvention couvrant 50% des frais de service de connexion par satellites. Grâce à cette initiative, 2.300 zones ont déjà bénéficié d'une meilleure connectivité, dans la perspective d’intégrer près de 4.000 zones chaque année.