L'Union marocaine du travail (UMT) a fermement rejeté la version actuelle du projet de loi organique 15-97 régissant l'exercice du droit de grève. À la suite d'une rencontre avec le ministre de l'Inclusion économique, de la Petite entreprise, de l'Emploi et des Compétences, Youness Sekkouri, tenue le 31 décembre 2024, l'UMT a réaffirmé ses propositions dans un communiqué et dénoncé l'ambiguïté du projetdeloi tel que voté à la Chambre des Représentants.
Cette rencontre, organisée par le ministre de l'Inclusion économique, s'est tenue au siège du ministère. Elle a permis à une délégation de l'UMT de discuter principalement du projet de loi organique n°15-97, qui définit les modalités d'exercice du droit de grève.
L'UMT a profité de cette occasion pour dénoncer plusieurs autres points problématiques du projet de loi, notamment les lourdes sanctions financières, qu’elle qualifie de dissuasives et répressives, ainsi que les procédures complexes pour la déclaration des grèves. L’organisation souligne que ces limitations pourraient sérieusement entraver l’exercice d’un droit constitutionnel et humain.
Cette rencontre, organisée par le ministre de l'Inclusion économique, s'est tenue au siège du ministère. Elle a permis à une délégation de l'UMT de discuter principalement du projet de loi organique n°15-97, qui définit les modalités d'exercice du droit de grève.
L'UMT a profité de cette occasion pour dénoncer plusieurs autres points problématiques du projet de loi, notamment les lourdes sanctions financières, qu’elle qualifie de dissuasives et répressives, ainsi que les procédures complexes pour la déclaration des grèves. L’organisation souligne que ces limitations pourraient sérieusement entraver l’exercice d’un droit constitutionnel et humain.