Selon une projection publiée par BMCE Capital Global Research (BKGR), le déploiement de cette technologie pourrait générer, d’ici 2030, une contribution économique estimée entre 4 et 6 milliards de dollars, soit environ 1,5 à 2 % du PIB projeté, en combinant les effets directs (revenus télécoms), indirects (développement des services numériques, IoT, cloud) et induits (gains de productivité).
Ce chantier sera appuyé par l’organisation au Maroc d’événements sportifs internationaux, notamment la Coupe d’Afrique des Nations en 2025 et la Coupe du Monde en 2030, qui constituent un levier pour accélérer la modernisation des infrastructures télécoms.
Cette mise à niveau constitue une exigence majeure de la FIFA afin de garantir une diffusion médiatique mondiale ininterrompue de l’ensemble des matchs, avec une connectivité internationale par fibre optique et des infrastructures de télécommunications de pointe, offrant ainsi une expérience footballistique inédite.
Par ailleurs, cette dynamique sera portée par une adoption accrue dans les usages professionnels, industrie 4.0, santé connectée, villes intelligentes ainsi que par une croissance soutenue de la consommation de données grand public.
La même source estime que cette nouvelle génération de connectivité irriguerait l’ensemble de l’écosystème, avec près de 40 milliards de dirhams d’investissements additionnels attendus dans les infrastructures et services associés. Cette révolution numérique devrait être soutenue par les PME, start-ups technologiques, équipementiers et acteurs du génie civil, sans oublier les secteurs manufacturier, logistique, agricole, sanitaire et éducatif.
Le déploiement de la 5G commencera par une couverture initiale de huit grandes villes et de leurs aéroports d’ici novembre 2025, avant de s’étendre à 25 % de la population d’ici fin 2026, puis à 70 % à l’horizon 2030.
Cependant, BMCE Capital Global Research souligne que la mise en œuvre de ce mégaprojet se heurte à plusieurs obstacles structurels, liés notamment au manque de confiance des usagers envers les solutions digitales, la faible interopérabilité entre les plateformes, la prédominance du cash dans les transactions quotidiennes.
Ces facteurs freinent le développement du paiement mobile, dont le potentiel est pourtant considérable et pourrait générer plusieurs dizaines de milliards de dirhams de flux d’ici 2030, ajoute la même source. D’où la nécessité de mettre en place une stratégie concertée réunissant les acteurs du secteur bancaire, les opérateurs télécoms et les régulateurs afin de promouvoir le paiement électronique.
Ce chantier sera appuyé par l’organisation au Maroc d’événements sportifs internationaux, notamment la Coupe d’Afrique des Nations en 2025 et la Coupe du Monde en 2030, qui constituent un levier pour accélérer la modernisation des infrastructures télécoms.
Cette mise à niveau constitue une exigence majeure de la FIFA afin de garantir une diffusion médiatique mondiale ininterrompue de l’ensemble des matchs, avec une connectivité internationale par fibre optique et des infrastructures de télécommunications de pointe, offrant ainsi une expérience footballistique inédite.
Par ailleurs, cette dynamique sera portée par une adoption accrue dans les usages professionnels, industrie 4.0, santé connectée, villes intelligentes ainsi que par une croissance soutenue de la consommation de données grand public.
La même source estime que cette nouvelle génération de connectivité irriguerait l’ensemble de l’écosystème, avec près de 40 milliards de dirhams d’investissements additionnels attendus dans les infrastructures et services associés. Cette révolution numérique devrait être soutenue par les PME, start-ups technologiques, équipementiers et acteurs du génie civil, sans oublier les secteurs manufacturier, logistique, agricole, sanitaire et éducatif.
Le déploiement de la 5G commencera par une couverture initiale de huit grandes villes et de leurs aéroports d’ici novembre 2025, avant de s’étendre à 25 % de la population d’ici fin 2026, puis à 70 % à l’horizon 2030.
Cependant, BMCE Capital Global Research souligne que la mise en œuvre de ce mégaprojet se heurte à plusieurs obstacles structurels, liés notamment au manque de confiance des usagers envers les solutions digitales, la faible interopérabilité entre les plateformes, la prédominance du cash dans les transactions quotidiennes.
Ces facteurs freinent le développement du paiement mobile, dont le potentiel est pourtant considérable et pourrait générer plusieurs dizaines de milliards de dirhams de flux d’ici 2030, ajoute la même source. D’où la nécessité de mettre en place une stratégie concertée réunissant les acteurs du secteur bancaire, les opérateurs télécoms et les régulateurs afin de promouvoir le paiement électronique.
