Suspendus par vigilance pour prévenir toute attaque similaire à celle ayant visé la CNSS, les services de paiement en ligne de la Conservation foncière seront rétablis dans moins de 24 heures, selon le directeur général de l’Agence nationale de la conservation foncière, du cadastre et de la cartographie (ANCFCC), Karim Tajmouati.
En effet, ces services avaient été suspendus pour des raisons de “maintenance”, une précaution visant à contrer la menace du piratage informatique, désormais un enjeu de sécurité nationale.
« Notre priorité est de garantir l’intégrité et la sécurité de nos systèmes d’information ainsi que des données qui y sont traitées. J’ai pris la décision de suspendre nos services pendant quelques jours pour évaluer le danger et prendre les mesures nécessaires », précise le directeur de l’ANCFCC dans une déclaration à “L’Opinion”.
« Nous avons effectué des tests d’intrusion de très haut niveau et déployé des outils de sécurité sophistiqués en un temps record. Le dispositif de cybersécurité a également été renforcé pour prévenir tout risque de cyberattaque, car ces risques restent bien présents », souligne-t-il.
Ainsi, les précautions adéquates ayant été prises et la plateforme désormais solidement sécurisée, les services devraient être à nouveau accessibles, au grand soulagement des usagers et des professionnels du droit, notamment les notaires, les avocats, ainsi que les officiers publics ministériels. Ces derniers ont été contraints, pendant plus de 15 jours, de se présenter physiquement aux guichets des services fonciers pour déposer des actes ou consulter les registres.
La suspension des services digitaux a engendré de longues files d’attente devant les guichets fonciers, entraînant le blocage de l’enregistrement de milliers de contrats de vente et des retards dans le dépôt des mains levées, selon des professionnels du droit qui, jusqu’alors, réalisaient ces démarches en ligne sans avoir à se déplacer.
Cette situation illustre, selon Karim Tajmouati, l’importance stratégique de la digitalisation pour l’ANCFCC, en tenant compte du volume impressionnant de transactions numériques, estimé à 1,2 million par an.
« Suspendre la digitalisation pendant quelques jours a permis de mesurer à quel point ce choix a transformé la vie des usagers, des notaires et des topographes. Sa suspension a provoqué un véritable chaos », conclut le directeur, qui rassure sur le retour à la normale des services digitaux, désormais renforcés sur le plan sécuritaire.
En effet, ces services avaient été suspendus pour des raisons de “maintenance”, une précaution visant à contrer la menace du piratage informatique, désormais un enjeu de sécurité nationale.
« Notre priorité est de garantir l’intégrité et la sécurité de nos systèmes d’information ainsi que des données qui y sont traitées. J’ai pris la décision de suspendre nos services pendant quelques jours pour évaluer le danger et prendre les mesures nécessaires », précise le directeur de l’ANCFCC dans une déclaration à “L’Opinion”.
« Nous avons effectué des tests d’intrusion de très haut niveau et déployé des outils de sécurité sophistiqués en un temps record. Le dispositif de cybersécurité a également été renforcé pour prévenir tout risque de cyberattaque, car ces risques restent bien présents », souligne-t-il.
Ainsi, les précautions adéquates ayant été prises et la plateforme désormais solidement sécurisée, les services devraient être à nouveau accessibles, au grand soulagement des usagers et des professionnels du droit, notamment les notaires, les avocats, ainsi que les officiers publics ministériels. Ces derniers ont été contraints, pendant plus de 15 jours, de se présenter physiquement aux guichets des services fonciers pour déposer des actes ou consulter les registres.
La suspension des services digitaux a engendré de longues files d’attente devant les guichets fonciers, entraînant le blocage de l’enregistrement de milliers de contrats de vente et des retards dans le dépôt des mains levées, selon des professionnels du droit qui, jusqu’alors, réalisaient ces démarches en ligne sans avoir à se déplacer.
Cette situation illustre, selon Karim Tajmouati, l’importance stratégique de la digitalisation pour l’ANCFCC, en tenant compte du volume impressionnant de transactions numériques, estimé à 1,2 million par an.
« Suspendre la digitalisation pendant quelques jours a permis de mesurer à quel point ce choix a transformé la vie des usagers, des notaires et des topographes. Sa suspension a provoqué un véritable chaos », conclut le directeur, qui rassure sur le retour à la normale des services digitaux, désormais renforcés sur le plan sécuritaire.