« Restez toujours à distance des animaux errants. Plusieurs cas de décès dus à la rage après des morsures de chien ont été signalés », a souligné le DFAE, appelant les touristes à s’informer à l’avance sur les vaccins nécessaires, et à consulter immédiatement un médecin en cas de morsure ou de griffure par un animal.
Cette actualisation intervient suite à l’incident tragique, survenu début juillet à Taghazout, quand une touriste suisse, en vacances à Agadir, est décédée après avoir été mordue par un chien errant. Selon les témoignages, la défunte était en train de s’amuser avec l’animal qui l’a surprise en l’attaquant.
Malgré que les spécialistes aient jugé que la morsure était légère et sans gravité, après la prise en charge de la victime et l’administration d’un vaccin post-exposition, la touriste suisse a fini par rendre l’âme. En effet, le phénomène des chiens errants demeure un risque sérieux de santé publique.
Conscient de cette réalité, le Royaume s’est mis à pied d’œuvre, depuis 2019, pour la lutte contre cette problématique endémique dans le cadre des efforts visant la promotion des services publics liés à la prévention sanitaire et à la salubrité publique. Ces efforts s’inscrivent dans le cadre d’une convention quadripartite entre le ministère de l’Intérieur, l’Ordre National des Vétérinaires, l’ONSSA et le ministère de la Santé, portant sur la mise en œuvre de la TNR (Trap-Neuter-Release : Capture-Stérilisation-Relâche), une solution permettant de mieux contrôler les populations d’animaux errants.
Grâce à ce procédé, les chiens errants sont désormais ramassés et gardés dans des dispensaires spécialisés, stérilisés pour limiter leur reproduction, vaccinés contre la rage, traités des parasites et remis dans leur milieu d'origine après identification, dans le plein respect du bien-être animal.
Face à l’absence de données précises du nombre de chiens errants dans le pays, le ministère de l’Intérieur a signé, en 2024, une convention de partenariat avec l’Institut Agronomique et Vétérinaire (IAV) Hassan II pour effectuer un recensement de la population canine errante, en plus de la mise à disposition de vaccins par voie orale. De plus, le ministère consacre annuellement 40 MDH pour l’acquisition de vaccins et de sérums antirabique de l’Institut Pasteur au profit des 556 centres de santé.
Cette actualisation intervient suite à l’incident tragique, survenu début juillet à Taghazout, quand une touriste suisse, en vacances à Agadir, est décédée après avoir été mordue par un chien errant. Selon les témoignages, la défunte était en train de s’amuser avec l’animal qui l’a surprise en l’attaquant.
Malgré que les spécialistes aient jugé que la morsure était légère et sans gravité, après la prise en charge de la victime et l’administration d’un vaccin post-exposition, la touriste suisse a fini par rendre l’âme. En effet, le phénomène des chiens errants demeure un risque sérieux de santé publique.
Conscient de cette réalité, le Royaume s’est mis à pied d’œuvre, depuis 2019, pour la lutte contre cette problématique endémique dans le cadre des efforts visant la promotion des services publics liés à la prévention sanitaire et à la salubrité publique. Ces efforts s’inscrivent dans le cadre d’une convention quadripartite entre le ministère de l’Intérieur, l’Ordre National des Vétérinaires, l’ONSSA et le ministère de la Santé, portant sur la mise en œuvre de la TNR (Trap-Neuter-Release : Capture-Stérilisation-Relâche), une solution permettant de mieux contrôler les populations d’animaux errants.
Grâce à ce procédé, les chiens errants sont désormais ramassés et gardés dans des dispensaires spécialisés, stérilisés pour limiter leur reproduction, vaccinés contre la rage, traités des parasites et remis dans leur milieu d'origine après identification, dans le plein respect du bien-être animal.
Face à l’absence de données précises du nombre de chiens errants dans le pays, le ministère de l’Intérieur a signé, en 2024, une convention de partenariat avec l’Institut Agronomique et Vétérinaire (IAV) Hassan II pour effectuer un recensement de la population canine errante, en plus de la mise à disposition de vaccins par voie orale. De plus, le ministère consacre annuellement 40 MDH pour l’acquisition de vaccins et de sérums antirabique de l’Institut Pasteur au profit des 556 centres de santé.
