« La compétition sportive se fonde sur un double principe : un principe méritocratique et un principe de justice dont dépend le premier. Le rôle de l’arbitre est alors indispensable à l’élaboration d’une hiérarchie.
Dans ces conditions, le sport se pose en modèle social et sociétal.
Or, pour garantir l’efficacité de cette modélisation, l’institution sportive place l’arbitre au cœur de sa mission éthique : diffusion de valeurs morales, respect des valeurs sportives, pérennisation de la règle, délimitation de la violence socialement acceptable, etc.
L’arbitre se trouve alors chargé de former les consciences à une éthique tout en préservant l’ordre compétitif.
En tant que référent moral, l’arbitre assure une fonction éthique mais aussi politique; à tel point qu’en France, l’État reconnaît qu’il assure une mission de service public.
Cette acceptation nous renseigne sur les fonctions éthiques que l’arbitre remplit au sein d’une société sportive dont il est le garant moral ».
Et puisque, la reconnaissance du bien est une pensée envers l’autre.
Elle est l'une des plus belles pensées que les autres présentent et qui reste tatouer dans la mémoire et son effet dure si longtemps possible au sein de l'âme.
Aussi, conserver le bien, c’est conserver l’alliance, parler en bien des autres ne s'oublie jamais. C’est la beauté que l'on porte sur ses épaules jusqu'à la fin de sa vie.
C'est par magnanimité que nous nous efforçons de faire du bien à ceux qui se sont fatigués et se sont beaucoup sacrifiés et ont utilisé leur temps et dépenser leur bien pour nous faire du bien…
Dans ce contexte général, et pour rendre à César ce qui appartenait à César et en signe d'amour, d'harmonie et de respect pour les sacrifices qu'ils ont consentis dans leur domaine de travail au niveau national et pour avoir hissé si haut le drapeau de leur pays à l'extérieur, nos deux arbitres bijoux, Adil Zourak et Inssaf Harkawi, ont reçu, comme il se doit, un honneur digne des héros par la caravane de bienfaisance et de la solidarité qui s’est donnée comme objectif principal depuis sa création de mener des actions honorifiques spontanées de communication, de connexion et de rendre hommage à ceux qui ont fait les beaux jours sportifs de la ville des Sept Saints.
Cette caravane de bienfaisance et de solidarité n’arrête pas de nous étonner !
Vraiment, que de bons souvenirs en si peu de temps ! et même son parrain Abdeljalil Jaouhari, avec ses propres moyens de bord, est devenu une référence incontournable quant à fournir les services sociaux et sportifs à tous ceux qui en souffrent de leur pénurie.
Du coup, cet homme mérite tout le respect et l'appréciation des milieux sportifs marrakchis.
Bonne chance et bonne continuation au duo Jaouhari - Caravane de bienfaisance et de la solidarité
Dans ces conditions, le sport se pose en modèle social et sociétal.
Or, pour garantir l’efficacité de cette modélisation, l’institution sportive place l’arbitre au cœur de sa mission éthique : diffusion de valeurs morales, respect des valeurs sportives, pérennisation de la règle, délimitation de la violence socialement acceptable, etc.
L’arbitre se trouve alors chargé de former les consciences à une éthique tout en préservant l’ordre compétitif.
En tant que référent moral, l’arbitre assure une fonction éthique mais aussi politique; à tel point qu’en France, l’État reconnaît qu’il assure une mission de service public.
Cette acceptation nous renseigne sur les fonctions éthiques que l’arbitre remplit au sein d’une société sportive dont il est le garant moral ».
Et puisque, la reconnaissance du bien est une pensée envers l’autre.
Elle est l'une des plus belles pensées que les autres présentent et qui reste tatouer dans la mémoire et son effet dure si longtemps possible au sein de l'âme.
Aussi, conserver le bien, c’est conserver l’alliance, parler en bien des autres ne s'oublie jamais. C’est la beauté que l'on porte sur ses épaules jusqu'à la fin de sa vie.
C'est par magnanimité que nous nous efforçons de faire du bien à ceux qui se sont fatigués et se sont beaucoup sacrifiés et ont utilisé leur temps et dépenser leur bien pour nous faire du bien…
Dans ce contexte général, et pour rendre à César ce qui appartenait à César et en signe d'amour, d'harmonie et de respect pour les sacrifices qu'ils ont consentis dans leur domaine de travail au niveau national et pour avoir hissé si haut le drapeau de leur pays à l'extérieur, nos deux arbitres bijoux, Adil Zourak et Inssaf Harkawi, ont reçu, comme il se doit, un honneur digne des héros par la caravane de bienfaisance et de la solidarité qui s’est donnée comme objectif principal depuis sa création de mener des actions honorifiques spontanées de communication, de connexion et de rendre hommage à ceux qui ont fait les beaux jours sportifs de la ville des Sept Saints.
Cette caravane de bienfaisance et de solidarité n’arrête pas de nous étonner !
Vraiment, que de bons souvenirs en si peu de temps ! et même son parrain Abdeljalil Jaouhari, avec ses propres moyens de bord, est devenu une référence incontournable quant à fournir les services sociaux et sportifs à tous ceux qui en souffrent de leur pénurie.
Du coup, cet homme mérite tout le respect et l'appréciation des milieux sportifs marrakchis.
Bonne chance et bonne continuation au duo Jaouhari - Caravane de bienfaisance et de la solidarité
