Andrew Forrest a fait cette annonce dans un entretien accordé au Telegraph le mercredi 7 mai, où il a souligné l'énorme potentiel énergétique non exploité en Afrique du Nord. "Une quantité d'énergie inimaginable est gaspillée chaque jour en Afrique du Nord. Nous élaborons donc une proposition visant à envoyer l'équivalent de 500 térawattheures (TWh) vers l'Europe", a-t-il déclaré.
Ce projet prévoit l'installation de câbles sous-marins capables de transporter jusqu'à 500 TWh d'électricité par an, soit l'équivalent de la consommation annuelle de l'Allemagne.
L'énergie proviendrait principalement de fermes solaires, complétées par des systèmes de stockage par batteries et des centrales à hydrogène, garantissant ainsi une alimentation continue 24 h/24.
L'année dernière, Fortescue a signé un accord avec Jan de Nul, fabricant belge de câbles sous-marins, pour évaluer l'implantation d'unités de fabrication au Maroc. Cette coopération s'inscrit dans une stratégie globale visant à développer jusqu'à 100 GW de capacités de production d'énergie verte sur le continent africain.
Le Royaume, déjà impliqué dans le projet d'interconnexion Xlinks, qui reliera la région de Tan-Tan aux côtes britanniques via un câble sous-marin de 4 000 km, se positionne comme un acteur clé dans les projets énergétiques reliant l'Afrique à l'Europe. Grâce à son fort potentiel solaire dans le Sahara et sa situation géographique aux portes de l'Europe, le Maroc confirme son attractivité comme hub énergétique régional.
Bien que Fortescue n'ait pas encore précisé l'itinéraire exact des futures lignes d'interconnexion, le Maroc pourrait jouer un rôle central, tant pour la production industrielle que pour l'hébergement d'infrastructures de production d'énergie renouvelable.
Ce projet prévoit l'installation de câbles sous-marins capables de transporter jusqu'à 500 TWh d'électricité par an, soit l'équivalent de la consommation annuelle de l'Allemagne.
L'énergie proviendrait principalement de fermes solaires, complétées par des systèmes de stockage par batteries et des centrales à hydrogène, garantissant ainsi une alimentation continue 24 h/24.
L'année dernière, Fortescue a signé un accord avec Jan de Nul, fabricant belge de câbles sous-marins, pour évaluer l'implantation d'unités de fabrication au Maroc. Cette coopération s'inscrit dans une stratégie globale visant à développer jusqu'à 100 GW de capacités de production d'énergie verte sur le continent africain.
Le Royaume, déjà impliqué dans le projet d'interconnexion Xlinks, qui reliera la région de Tan-Tan aux côtes britanniques via un câble sous-marin de 4 000 km, se positionne comme un acteur clé dans les projets énergétiques reliant l'Afrique à l'Europe. Grâce à son fort potentiel solaire dans le Sahara et sa situation géographique aux portes de l'Europe, le Maroc confirme son attractivité comme hub énergétique régional.
Bien que Fortescue n'ait pas encore précisé l'itinéraire exact des futures lignes d'interconnexion, le Maroc pourrait jouer un rôle central, tant pour la production industrielle que pour l'hébergement d'infrastructures de production d'énergie renouvelable.
