La Coupe d’Afrique des Nations féminine, édition 2024, entre dans sa phase décisive. Après des quarts de finale riches en suspense et en émotions, quatre sélections se détachent pour former un carré final de très haute tenue : le Maroc, le Ghana, le Nigeria et l’Afrique du Sud.
Les Lionnes de l’Atlas, solides et appliquées, ont ouvert le bal vendredi en dominant le Mali (3-1) dans un stade olympique de Rabat en fusion. Portées par leur capitaine Ghizlane Chebbak, Ibtissam Jraidi et la gardienne expérimentée Khadija Er-Rmichi, les Marocaines ont imposé leur tempo dès les premières minutes, confirmant leur progression constante sur la scène continentale. La qualification acquise, elles auront désormais fort à faire face à une équipe du Ghana qui a arraché son ticket dans la douleur.
Les Black Queens ont dû attendre la séance des tirs au but pour écarter la sélection algérienne (0- 0, 4-2 tab), samedi au stade municipal à Berkane. Peu inspirées offensivement, les Ghanéennes ont toutefois fait preuve de rigueur défensive et de sang-froid dans les moments cruciaux.
De son côté, le Nigeria a signé une démonstration de force en écrasant la Zambie (5-0). Les Super Falcons, emmenées par l’incontournable Asisat Oshoala, ont livré une prestation de très haut niveau, confirmant leur ambition de reconquérir un titre qui leur échappe depuis 2018. En demi-finale, elles retrouveront les tenantes du titre sud-africaines, vainqueures du Sénégal aux tirs au but (0-0, 4-1 tab) à Oujda, au terme d’un match âprement disputé.
Ces deux affiches promettent du spectacle et du suspense. Elles s’annoncent donc palpitantes : quatre grandes nations du continent pour une seule couronne. Le Maroc, porté par son public et une génération ambitieuse, espère réaliser le rêve de remporter son premier sacre historique à domicile. Le Ghana, revanchard, rêve de briller à nouveau. Pendant ce temps, les Super Falcons nigérianes guettent un nouveau sacre, tandis que les Banyana Banyana sud-africaines entendent défendre leur titre jusqu’au bout.
Les Lionnes de l’Atlas, solides et appliquées, ont ouvert le bal vendredi en dominant le Mali (3-1) dans un stade olympique de Rabat en fusion. Portées par leur capitaine Ghizlane Chebbak, Ibtissam Jraidi et la gardienne expérimentée Khadija Er-Rmichi, les Marocaines ont imposé leur tempo dès les premières minutes, confirmant leur progression constante sur la scène continentale. La qualification acquise, elles auront désormais fort à faire face à une équipe du Ghana qui a arraché son ticket dans la douleur.
Les Black Queens ont dû attendre la séance des tirs au but pour écarter la sélection algérienne (0- 0, 4-2 tab), samedi au stade municipal à Berkane. Peu inspirées offensivement, les Ghanéennes ont toutefois fait preuve de rigueur défensive et de sang-froid dans les moments cruciaux.
De son côté, le Nigeria a signé une démonstration de force en écrasant la Zambie (5-0). Les Super Falcons, emmenées par l’incontournable Asisat Oshoala, ont livré une prestation de très haut niveau, confirmant leur ambition de reconquérir un titre qui leur échappe depuis 2018. En demi-finale, elles retrouveront les tenantes du titre sud-africaines, vainqueures du Sénégal aux tirs au but (0-0, 4-1 tab) à Oujda, au terme d’un match âprement disputé.
Ces deux affiches promettent du spectacle et du suspense. Elles s’annoncent donc palpitantes : quatre grandes nations du continent pour une seule couronne. Le Maroc, porté par son public et une génération ambitieuse, espère réaliser le rêve de remporter son premier sacre historique à domicile. Le Ghana, revanchard, rêve de briller à nouveau. Pendant ce temps, les Super Falcons nigérianes guettent un nouveau sacre, tandis que les Banyana Banyana sud-africaines entendent défendre leur titre jusqu’au bout.
