Porté par l’exploit historique du Mondial Qatar-2022, première nation africaine et arabe à atteindre le dernier carré d’une Coupe du monde après avoir fait tomber l’Espagne et le Portugal, le Maroc aborde cette CAN dans la peau du favori naturel. Un statut qui ne relève plus du symbole, mais d’une réalité sportive patiemment construite. Le palmarès reste modeste, mais chargé de sens : un sacre en 1976 en Éthiopie, une finale en 2004 en Tunisie, et trop souvent des rendez-vous manqués. Cette CAN à domicile, organisée du 21 décembre au 18 janvier, sonne comme une occasion rare de réconcilier le talent, l’Histoire et le destin.
Versés dans le groupe A, les hommes de Walid Regragui ouvriront le bal face aux Comores, avant de se mesurer au Mali et à la Zambie, deux adversaires solides et rompus aux joutes africaines. L’objectif est clair : une qualification maîtrisée, sans frayeur, pour entrer ensuite dans le vif du sujet, là où les tournois se gagnent ou se perdent.
Mais cette CAN dépasse le seul cadre sportif. Elle est aussi une vitrine. Le Maroc a mis les moyens et le savoir-faire pour offrir à l’Afrique ce qui se fait de mieux : stades modernes, pelouses de qualité, réseaux autoroutiers et ferroviaires, infrastructures hôtelières de haut niveau. Toutes les sélections bénéficieront de conditions optimales. Un constat largement partagé par les observateurs et les médias spécialisés : africains et européens voire latino-américains.
Pour autant, le véritable avantage est ailleurs. Il est dans les tribunes, dans cette ferveur populaire qui transforme chaque match des Lions de l’Atlas en communion nationale. Jouer à domicile, devant un public acquis à sa cause, peut faire la différence dans les moments de vérité.
Le Maroc s’avance donc avec ses certitudes, mais aussi avec ses responsabilités. Favori, hôte, référence continentale : les rôles sont nombreux et exigeants. Reste désormais à transformer l’attente en victoire, l’élan en trophée, et la fête annoncée en sacre historique.
Le Royaume est prêt. Le football africain est à la maison. Que la fête commence…
Versés dans le groupe A, les hommes de Walid Regragui ouvriront le bal face aux Comores, avant de se mesurer au Mali et à la Zambie, deux adversaires solides et rompus aux joutes africaines. L’objectif est clair : une qualification maîtrisée, sans frayeur, pour entrer ensuite dans le vif du sujet, là où les tournois se gagnent ou se perdent.
Mais cette CAN dépasse le seul cadre sportif. Elle est aussi une vitrine. Le Maroc a mis les moyens et le savoir-faire pour offrir à l’Afrique ce qui se fait de mieux : stades modernes, pelouses de qualité, réseaux autoroutiers et ferroviaires, infrastructures hôtelières de haut niveau. Toutes les sélections bénéficieront de conditions optimales. Un constat largement partagé par les observateurs et les médias spécialisés : africains et européens voire latino-américains.
Pour autant, le véritable avantage est ailleurs. Il est dans les tribunes, dans cette ferveur populaire qui transforme chaque match des Lions de l’Atlas en communion nationale. Jouer à domicile, devant un public acquis à sa cause, peut faire la différence dans les moments de vérité.
Le Maroc s’avance donc avec ses certitudes, mais aussi avec ses responsabilités. Favori, hôte, référence continentale : les rôles sont nombreux et exigeants. Reste désormais à transformer l’attente en victoire, l’élan en trophée, et la fête annoncée en sacre historique.
Le Royaume est prêt. Le football africain est à la maison. Que la fête commence…






















