Si le commerce illégal de la faune sauvage alimentait, il y a quelques années encore, les échoppes d’herboristes douteux et les sacs de montreurs d’animaux à la petite semaine, le récent coup de filet des autorités à l’aéroport de Marrakech-Ménara démontre l’impératif de prendre en considération la demande transfrontalière croissance de certaines espèces sauvages et endémiques. Des centaines de reptiles du Maroc ont ainsi été saisis de justesse alors qu’ils étaient destinés à alimenter des échoppes asiatiques, tout aussi douteuses, mais également les vivariums de terrariophiles passionnés par l’élevage de reptiles et d’arachnides exotiques, très rares de préférence. Zoom sur un enjeu de préservation de la biodiversité marocaine qu’il faut mener sur plusieurs fronts.
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