
Abdellatif Jouahri, Wali de Bank Al Maghrib (BAM)
D’après Bank Al-Maghrib (BAM), cette évolution reflète essentiellement un ralentissement de 6,8% à 6% de la progression des dépôts à vue suite notamment à la décélération de 6,8% à 6,1% du rythme d’accroissement de ceux détenus par les ménages.
Les dépôts à terme ont marqué, pour leur part, une baisse de 9,8%, plus accentuée que celle de 9,3% observée un mois auparavant, traduisant principalement la contraction de 13,2% des dépôts des entreprises non financières privées, après celle de 10,8%, , souligne BAM dans sa revue mensuelle de la conjoncture économique, monétaire et financière », datée de ce mois d’avril.
Dans le même temps, les dépôts en devises ont accusé un repli de 2,7% contre une augmentation de 7% le mois précédent. En revanche, poursuit la même source, la monnaie fiduciaire a poursuivi son accroissement, affichant une hausse de 8,1% après 7,9%.
Par source de création monétaire, le rythme de croissance du crédit banaire a, lui-aussi, ralenti, passant de 5,1% en janvier 2020 à 4,2% en février de la même année. Ce ralentissement refléte une décélération de 5,3% à 4,9% pour le crédit destiné au secteur non financier et une quasi-stabilité du niveau des prêts au secteur financier après une hausse de 3,9%.
Par secteur institutionnel, BAM souligne que le crédit aux entreprises privées s’est accru de 5,8% au lieu de 6,3% en janvier. Cette évolution recouvre des ralentissements de la croissance de 8,5% à 7,4% pour les facilités de trésorerie, de 3,5% à 2,5% pour la promotion immobilière et une accélération du rythme d’accroissement de 4,9% à 6% pour les prêts à l’équipement.
Dans le même temps, après avoir connu une légère hausse de 0,4% en janvier, les concours aux entreprises publiques ont marqué une baisse de 3,5%, reflétant une accentuation de la diminution des facilités de trésorerie de 4,7% à 20,5% et une décélération de la progression des prêts à l’équipement de 2,2% à 0,9%.
Quant au crédit aux ménages, son rythme de progression est resté quasiment inchangé à 4,4%, recouvrant une accélération de 3,6% à 4,2% de celui des prêts à l’habitat et un ralentissement de 5,2% à 5% de celui des crédits à la consommation.
Enfin, l’encours des créances en souffrance s’est accru de 6,9% en glissement annuel après 9% en janvier et leur ratio au crédit bancaire s’est établi à 8%.
Les dépôts à terme ont marqué, pour leur part, une baisse de 9,8%, plus accentuée que celle de 9,3% observée un mois auparavant, traduisant principalement la contraction de 13,2% des dépôts des entreprises non financières privées, après celle de 10,8%, , souligne BAM dans sa revue mensuelle de la conjoncture économique, monétaire et financière », datée de ce mois d’avril.
Dans le même temps, les dépôts en devises ont accusé un repli de 2,7% contre une augmentation de 7% le mois précédent. En revanche, poursuit la même source, la monnaie fiduciaire a poursuivi son accroissement, affichant une hausse de 8,1% après 7,9%.
Par source de création monétaire, le rythme de croissance du crédit banaire a, lui-aussi, ralenti, passant de 5,1% en janvier 2020 à 4,2% en février de la même année. Ce ralentissement refléte une décélération de 5,3% à 4,9% pour le crédit destiné au secteur non financier et une quasi-stabilité du niveau des prêts au secteur financier après une hausse de 3,9%.
Par secteur institutionnel, BAM souligne que le crédit aux entreprises privées s’est accru de 5,8% au lieu de 6,3% en janvier. Cette évolution recouvre des ralentissements de la croissance de 8,5% à 7,4% pour les facilités de trésorerie, de 3,5% à 2,5% pour la promotion immobilière et une accélération du rythme d’accroissement de 4,9% à 6% pour les prêts à l’équipement.
Dans le même temps, après avoir connu une légère hausse de 0,4% en janvier, les concours aux entreprises publiques ont marqué une baisse de 3,5%, reflétant une accentuation de la diminution des facilités de trésorerie de 4,7% à 20,5% et une décélération de la progression des prêts à l’équipement de 2,2% à 0,9%.
Quant au crédit aux ménages, son rythme de progression est resté quasiment inchangé à 4,4%, recouvrant une accélération de 3,6% à 4,2% de celui des prêts à l’habitat et un ralentissement de 5,2% à 5% de celui des crédits à la consommation.
Enfin, l’encours des créances en souffrance s’est accru de 6,9% en glissement annuel après 9% en janvier et leur ratio au crédit bancaire s’est établi à 8%.
- C.