
En glissement mensuel, la masse monétaire, désignée par l’agrégat M3, a enregistré un repli de 0,4% pour revenir à 1.573,8 MMDH. Cette évolution reflète principalement une baisse de 1,1% des dépôts à vue auprès des banques et de 2,1% des comptes à terme ainsi qu’une augmentation de 2,2% de la monnaie fiduciaire, explique BAM qui vient de publier ses indicateurs clés des statistiques monétaires pour le mois d’avril 2022.
En contrepartie, le crédit bancaire au secteur non financier a enregistré une hausse de 0,9%, avec une progression de 2,9% des facilités de trésorerie, de 0,3% des crédits à l’équipement, de 0,2% des prêts à l’immobilier et de 0,3% de ceux à la consommation. En revanche, les créances nettes sur l’Administration Centrale ont baissé de 1,8% et les avoirs officiels de réserve de 1,1%.
En glissement annuel, BAM fait remarquer que la masse monétaire s’est accrue de 5,3% après 6,3% en mars 2022. Cette évolution recouvre une décélération de la croissance des dépôts à vue auprès des banques de 8,3% à 7,9%, une accentuation de la baisse de 2,9% à 5,6% des dépôts à terme, ainsi qu’une hausse de 9,2% après 8,2% de la circulation fiduciaire, explique la même source.
En contrepartie, la croissance annuelle des avoirs officiels de réserve a ralenti à 8,3% après 9% et celle des créances nettes sur l’Administration Centrale à 16,5% après 20,8% en mars 2022. A l’inverse, le crédit bancaire au secteur non financier a vu sa progression s’accélérer à 3,2% après 2,8%, avec une hausse de 5,6% contre 4,6% des prêts aux sociétés privées, une accentuation de la baisse des crédits aux sociétés non financières publiques de 15,9% à 16,6% et une quasi-stagnation des crédits aux ménages à 3,4%.
La ventilation par objet économique des crédits alloués au secteur non financier fait ressortir une progression des facilités de trésorerie de 9,4% après 7,3%, une décélération de 2,6% à 2,3% de la croissance des crédits immobiliers et une quasi-stagnation de la baisse des prêts à l’équipement à 2,6% et de la hausse de ceux à la consommation à 2,3%.
Enfin, s’agissant des créances en souffrance, leur taux de progression annuelle s’est établi à 5,3% et leur ratio au crédit a atteint 8,8%.
En contrepartie, le crédit bancaire au secteur non financier a enregistré une hausse de 0,9%, avec une progression de 2,9% des facilités de trésorerie, de 0,3% des crédits à l’équipement, de 0,2% des prêts à l’immobilier et de 0,3% de ceux à la consommation. En revanche, les créances nettes sur l’Administration Centrale ont baissé de 1,8% et les avoirs officiels de réserve de 1,1%.
En glissement annuel, BAM fait remarquer que la masse monétaire s’est accrue de 5,3% après 6,3% en mars 2022. Cette évolution recouvre une décélération de la croissance des dépôts à vue auprès des banques de 8,3% à 7,9%, une accentuation de la baisse de 2,9% à 5,6% des dépôts à terme, ainsi qu’une hausse de 9,2% après 8,2% de la circulation fiduciaire, explique la même source.
En contrepartie, la croissance annuelle des avoirs officiels de réserve a ralenti à 8,3% après 9% et celle des créances nettes sur l’Administration Centrale à 16,5% après 20,8% en mars 2022. A l’inverse, le crédit bancaire au secteur non financier a vu sa progression s’accélérer à 3,2% après 2,8%, avec une hausse de 5,6% contre 4,6% des prêts aux sociétés privées, une accentuation de la baisse des crédits aux sociétés non financières publiques de 15,9% à 16,6% et une quasi-stagnation des crédits aux ménages à 3,4%.
La ventilation par objet économique des crédits alloués au secteur non financier fait ressortir une progression des facilités de trésorerie de 9,4% après 7,3%, une décélération de 2,6% à 2,3% de la croissance des crédits immobiliers et une quasi-stagnation de la baisse des prêts à l’équipement à 2,6% et de la hausse de ceux à la consommation à 2,3%.
Enfin, s’agissant des créances en souffrance, leur taux de progression annuelle s’est établi à 5,3% et leur ratio au crédit a atteint 8,8%.
A. C.