Le premier vice-président de la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement
(BERD), Greg Guyett, a livré une appréciation particulièrement positive des performances
économiques du Maroc et des réformes engagées ces dernières années, soulignant leur impact direct
sur la stabilité macroéconomique et le dynamisme du secteur privé. Dans une interview accordée à la
MAP, le responsable de l’institution financière européenne n’a pas caché son admiration pour la
trajectoire suivie par le Royaume sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
« Je suis impressionné par la stabilité macroéconomique du Royaume, due aux politiques menées par
le Maroc sous le leadership de SM le Roi Mohammed VI », a affirmé M. Guyett, mettant en avant la
cohérence et la continuité des choix économiques opérés. Selon lui, ces réformes structurelles ont
démontré leur efficacité non seulement en matière de développement, mais aussi en termes de
stimulation du secteur privé, considéré comme un moteur central de la croissance.
Des réformes favorables au secteur privé
Pour étayer son propos, le premier vice-président de la BERD a cité un indicateur clé : la récente
révision à la hausse de la note souveraine du Maroc par les agences de notation internationales.
L’attribution du statut « Investment grade » constitue, à ses yeux, une reconnaissance claire de la
crédibilité économique et financière du Royaume. « C’est l’un des meilleurs exemples du succès de
ces politiques », a-t-il relevé, soulignant l’importance de cette notation pour renforcer la confiance
des investisseurs et faciliter l’accès aux financements internationaux.
Croissance soutenue et inflation maîtrisée
Au-delà de la notation, Greg Guyett a insisté sur les fondamentaux macroéconomiques actuels. Le
Maroc affiche, selon lui, une forte croissance économique, conjuguée à un niveau d’inflation jugé
raisonnablement faible. Des signaux qu’il qualifie de très positifs et qui traduisent, à ses yeux, le
succès des politiques économiques mises en œuvre par le gouvernement, en droite ligne avec les
Hautes Orientations Royales. Cette combinaison entre croissance et maîtrise des équilibres
macroéconomiques conforte la résilience de l’économie nationale dans un contexte international
marqué par de fortes incertitudes.
S’agissant de l’attractivité du Royaume en tant que destination privilégiée pour les investissements
internationaux, le responsable de la BERD a mis en avant plusieurs atouts structurels. La stabilité
politique et institutionnelle figure en tête de liste, suivie par des coûts de production qui demeurent
très compétitifs par rapport au reste de la région. À cela s’ajoute la proximité géographique du
Maroc avec des marchés majeurs, notamment l’Europe et les pays du Golfe, un avantage stratégique
qui renforce son rôle de plateforme régionale.
Guyett a également souligné les efforts consentis par les pouvoirs publics pour améliorer
l’environnement des affaires. « Le gouvernement a mis en place plusieurs mesures, comme les Zones
d’Accélération Industrielle, pour rendre le Maroc une destination très attractive pour les
investissements étrangers », a-t-il noté. Ces zones, conçues pour accueillir des projets industriels à
forte valeur ajoutée, participent à la montée en gamme de l’appareil productif national et à
l’intégration du Royaume dans les chaînes de valeur mondiales.
La transition énergétique constitue un autre pilier de la stratégie marocaine salué par la BERD. Selon
Greg Guyett, le Maroc dispose d’une vision ambitieuse en matière d’énergies renouvelables,
renforçant à la fois sa souveraineté énergétique et son rôle de référence dans l’énergie verte.
La question de l’eau n’est pas en reste. Conscient des enjeux liés au stress hydrique, le
gouvernement a mis en place un plan ambitieux visant à garantir un environnement hydrique
résilient et durable. Dans ce cadre, le responsable de la BERD a rappelé la signature d’un contrat de
financement de 150 millions d’euros, soit environ 1,617 milliard de dirhams, destiné au projet «
Conservation des eaux de la plaine de Saïss - SAISS III ». Ce projet stratégique vise à améliorer la
gestion des ressources hydriques et à soutenir l’agriculture dans une région clé du Royaume.
(BERD), Greg Guyett, a livré une appréciation particulièrement positive des performances
économiques du Maroc et des réformes engagées ces dernières années, soulignant leur impact direct
sur la stabilité macroéconomique et le dynamisme du secteur privé. Dans une interview accordée à la
MAP, le responsable de l’institution financière européenne n’a pas caché son admiration pour la
trajectoire suivie par le Royaume sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
« Je suis impressionné par la stabilité macroéconomique du Royaume, due aux politiques menées par
le Maroc sous le leadership de SM le Roi Mohammed VI », a affirmé M. Guyett, mettant en avant la
cohérence et la continuité des choix économiques opérés. Selon lui, ces réformes structurelles ont
démontré leur efficacité non seulement en matière de développement, mais aussi en termes de
stimulation du secteur privé, considéré comme un moteur central de la croissance.
Des réformes favorables au secteur privé
Pour étayer son propos, le premier vice-président de la BERD a cité un indicateur clé : la récente
révision à la hausse de la note souveraine du Maroc par les agences de notation internationales.
L’attribution du statut « Investment grade » constitue, à ses yeux, une reconnaissance claire de la
crédibilité économique et financière du Royaume. « C’est l’un des meilleurs exemples du succès de
ces politiques », a-t-il relevé, soulignant l’importance de cette notation pour renforcer la confiance
des investisseurs et faciliter l’accès aux financements internationaux.
Croissance soutenue et inflation maîtrisée
Au-delà de la notation, Greg Guyett a insisté sur les fondamentaux macroéconomiques actuels. Le
Maroc affiche, selon lui, une forte croissance économique, conjuguée à un niveau d’inflation jugé
raisonnablement faible. Des signaux qu’il qualifie de très positifs et qui traduisent, à ses yeux, le
succès des politiques économiques mises en œuvre par le gouvernement, en droite ligne avec les
Hautes Orientations Royales. Cette combinaison entre croissance et maîtrise des équilibres
macroéconomiques conforte la résilience de l’économie nationale dans un contexte international
marqué par de fortes incertitudes.
S’agissant de l’attractivité du Royaume en tant que destination privilégiée pour les investissements
internationaux, le responsable de la BERD a mis en avant plusieurs atouts structurels. La stabilité
politique et institutionnelle figure en tête de liste, suivie par des coûts de production qui demeurent
très compétitifs par rapport au reste de la région. À cela s’ajoute la proximité géographique du
Maroc avec des marchés majeurs, notamment l’Europe et les pays du Golfe, un avantage stratégique
qui renforce son rôle de plateforme régionale.
Guyett a également souligné les efforts consentis par les pouvoirs publics pour améliorer
l’environnement des affaires. « Le gouvernement a mis en place plusieurs mesures, comme les Zones
d’Accélération Industrielle, pour rendre le Maroc une destination très attractive pour les
investissements étrangers », a-t-il noté. Ces zones, conçues pour accueillir des projets industriels à
forte valeur ajoutée, participent à la montée en gamme de l’appareil productif national et à
l’intégration du Royaume dans les chaînes de valeur mondiales.
La transition énergétique constitue un autre pilier de la stratégie marocaine salué par la BERD. Selon
Greg Guyett, le Maroc dispose d’une vision ambitieuse en matière d’énergies renouvelables,
renforçant à la fois sa souveraineté énergétique et son rôle de référence dans l’énergie verte.
La question de l’eau n’est pas en reste. Conscient des enjeux liés au stress hydrique, le
gouvernement a mis en place un plan ambitieux visant à garantir un environnement hydrique
résilient et durable. Dans ce cadre, le responsable de la BERD a rappelé la signature d’un contrat de
financement de 150 millions d’euros, soit environ 1,617 milliard de dirhams, destiné au projet «
Conservation des eaux de la plaine de Saïss - SAISS III ». Ce projet stratégique vise à améliorer la
gestion des ressources hydriques et à soutenir l’agriculture dans une région clé du Royaume.
