Ces suppressions représenteraient environ 15% des effectifs mondiaux du groupe, selon Kyodo News, une information également publiée par la chaîne publique NHK et le quotidien The Japan Times.
Cette annonce intervient à la veille de la publication des résultats financiers de Nissan pour l’exercice 2024-2025 clos fin mars.
En novembre, Nissan avait annoncé la suppression de 9.000 postes au Japon et à l’étranger, ainsi qu’une réduction de 20% de sa capacité de production mondiale d’ici l’exercice 2026, en raison de difficultés persistantes, notamment sur ses marchés américain et chinois.
Le mois dernier, le constructeur avait prévenu qu’il s’attendait à une perte nette record comprise entre 700 et 750 milliards de yens (environ 4,9 à 5,3 milliards de dollars) pour l’exercice 2024-2025, en raison des coûts liés à son plan de restructuration.
Nissan avait également tenté de fusionner ses activités avec celles de son concurrent Honda Motor, mais les négociations ont échoué en février, après que la proposition de Honda de faire de Nissan une filiale a provoqué l’opposition du conseil d’administration du groupe basé à Yokohama.
Le groupe voit aussi ses perspectives assombries par la mise en place, début avril, de droits de douane de 25% par Washington sur les voitures importées. L’entreprise, dont 30% des ventes mondiales ont été réalisées aux États-Unis l’an dernier, est particulièrement exposée, notamment pour les véhicules fabriqués au Japon et au Mexique.
Cette annonce intervient à la veille de la publication des résultats financiers de Nissan pour l’exercice 2024-2025 clos fin mars.
En novembre, Nissan avait annoncé la suppression de 9.000 postes au Japon et à l’étranger, ainsi qu’une réduction de 20% de sa capacité de production mondiale d’ici l’exercice 2026, en raison de difficultés persistantes, notamment sur ses marchés américain et chinois.
Le mois dernier, le constructeur avait prévenu qu’il s’attendait à une perte nette record comprise entre 700 et 750 milliards de yens (environ 4,9 à 5,3 milliards de dollars) pour l’exercice 2024-2025, en raison des coûts liés à son plan de restructuration.
Nissan avait également tenté de fusionner ses activités avec celles de son concurrent Honda Motor, mais les négociations ont échoué en février, après que la proposition de Honda de faire de Nissan une filiale a provoqué l’opposition du conseil d’administration du groupe basé à Yokohama.
Le groupe voit aussi ses perspectives assombries par la mise en place, début avril, de droits de douane de 25% par Washington sur les voitures importées. L’entreprise, dont 30% des ventes mondiales ont été réalisées aux États-Unis l’an dernier, est particulièrement exposée, notamment pour les véhicules fabriqués au Japon et au Mexique.