
-L’année 2020 a été celle de la résilience dans les secteurs industriels. Comment s’est organisée la « résistance » à la crise de la Covid 19 au sein de Renault Tanger et des ses fournisseurs ?
- Notre enjeu est d’assurer à la fois la sécurité de tous les collaborateurs et de poursuivre l’activité. Pour faire face à la pandémie, le Groupe a arrêté temporairement ses 2 sites industriels, à la mi-mars, avec l’objectif prioritaire de protéger les collaborateurs. Cette décision a été également prise pour faire face à la baisse brutale de la demande commerciale, en particulier dans nos destinations d’exportations. A la fin avril, le Groupe a repris progressivement son activité industrielle avec un dispositif sanitaire renforcé pour faire face à la reprise de la demande commerciale.
Quelles mesures avez-vous pris dans ce contexte d’une grande complexité ?
-Les usines de Tanger et Somaca ont mis en place le référentiel sanitaire du Groupe Renault, conforme aux recommandations de l’Etat Marocain et de l’Organisation Mondiale de la Santé. Renault Commerce Maroc a également mis en place un dispositif sanitaire complet adapté à l’activité commerciale pour garantir la sécurité des collaborateurs et des clients. A l’heure actuelle, et vu le niveau de contamination au Maroc et dans certaines villes comme Casablanca, nous avons mis en place une organisation flexible qui permet de prendre en charge les personnes touchées par le Covid, d’isoler les contacts et de maintenir au maximum l’activité.
-Quelle sortie de crise voyez-vous à terme et quelles leçons en tirer pour l’avenir ?
-La durée et l’ampleur de cette crise COVID-19 ne permettent pas de donner une prévision précise des impacts. Nous ne sommes pas en mesure de communiquer de chiffres à ce stade-là. Les usines tournent actuellement en 3 équipes partielles avec une régulation flexible en Stop & Go pour répondre à la demande de nos pays d’exportation. La tendance de juillet et août ont montré une amélioration sur nos marchés internationaux et l’export a repris quasiment au même niveau que les mois de juillet et août 2019.
Cependant, les marchés sont très volatiles et nous vivons actuellement une deuxième vague de confinement, en particulier en Europe qui est notre 1er marché à l’Export. Par conséquent, nous restons prudents par rapport à nos prévisions.».
- Notre enjeu est d’assurer à la fois la sécurité de tous les collaborateurs et de poursuivre l’activité. Pour faire face à la pandémie, le Groupe a arrêté temporairement ses 2 sites industriels, à la mi-mars, avec l’objectif prioritaire de protéger les collaborateurs. Cette décision a été également prise pour faire face à la baisse brutale de la demande commerciale, en particulier dans nos destinations d’exportations. A la fin avril, le Groupe a repris progressivement son activité industrielle avec un dispositif sanitaire renforcé pour faire face à la reprise de la demande commerciale.
Quelles mesures avez-vous pris dans ce contexte d’une grande complexité ?
-Les usines de Tanger et Somaca ont mis en place le référentiel sanitaire du Groupe Renault, conforme aux recommandations de l’Etat Marocain et de l’Organisation Mondiale de la Santé. Renault Commerce Maroc a également mis en place un dispositif sanitaire complet adapté à l’activité commerciale pour garantir la sécurité des collaborateurs et des clients. A l’heure actuelle, et vu le niveau de contamination au Maroc et dans certaines villes comme Casablanca, nous avons mis en place une organisation flexible qui permet de prendre en charge les personnes touchées par le Covid, d’isoler les contacts et de maintenir au maximum l’activité.
-Quelle sortie de crise voyez-vous à terme et quelles leçons en tirer pour l’avenir ?
-La durée et l’ampleur de cette crise COVID-19 ne permettent pas de donner une prévision précise des impacts. Nous ne sommes pas en mesure de communiquer de chiffres à ce stade-là. Les usines tournent actuellement en 3 équipes partielles avec une régulation flexible en Stop & Go pour répondre à la demande de nos pays d’exportation. La tendance de juillet et août ont montré une amélioration sur nos marchés internationaux et l’export a repris quasiment au même niveau que les mois de juillet et août 2019.
Cependant, les marchés sont très volatiles et nous vivons actuellement une deuxième vague de confinement, en particulier en Europe qui est notre 1er marché à l’Export. Par conséquent, nous restons prudents par rapport à nos prévisions.».