
Selon lui, le gouvernement a accompli son devoir, et ce en suivant les instructions Royales. Il y a eu des orientations royales claires et des directives données aux ministres de l’Intérieur, et des Affaires étrangères, pour traiter ce dossiers, et elles ont été appliquées à la lettre.
Le responsable a assuré que le Maroc a dû faire face à des «entraves administratives dans ces pays où se trouvent ces mineurs, imposées par des acteurs de la société civile. Ces obstacles empêchent ces processus de conduire vers des résultats positifs, a-t-il indiqué.
Ceci traduit la volonté du gouvernement, a-t-il précisé, de rapatrier les mineurs en situation irrégulière en France et toute l'Europe. Mais selon Baitas, il y a une autre raison, pour laquelle, l'octroi de visa est toujours sujet à des restrictions." Il faut s’adresser à l’autre partie», a-t-il souligné.
Pour rappel, cette crise désormais connue sous " la levée des restrictions sur les demandes de visas versus le rapatriement des mineurs non accompagnés, persiste depuis le mois de septembre 2021, quand la France avait décidé de réduire de 50% le nombre de visas accordés à l’Algérie et au Maroc pour mettre la pression sur les pays du Grand Maghreb.
Le responsable a assuré que le Maroc a dû faire face à des «entraves administratives dans ces pays où se trouvent ces mineurs, imposées par des acteurs de la société civile. Ces obstacles empêchent ces processus de conduire vers des résultats positifs, a-t-il indiqué.
Ceci traduit la volonté du gouvernement, a-t-il précisé, de rapatrier les mineurs en situation irrégulière en France et toute l'Europe. Mais selon Baitas, il y a une autre raison, pour laquelle, l'octroi de visa est toujours sujet à des restrictions." Il faut s’adresser à l’autre partie», a-t-il souligné.
Pour rappel, cette crise désormais connue sous " la levée des restrictions sur les demandes de visas versus le rapatriement des mineurs non accompagnés, persiste depuis le mois de septembre 2021, quand la France avait décidé de réduire de 50% le nombre de visas accordés à l’Algérie et au Maroc pour mettre la pression sur les pays du Grand Maghreb.