Le Parlement européen a appelé, ce jeudi, l'Espagne à mener une enquête approfondie sur les allégations d'espionnage de membres du gouvernement, y compris le président Pedro Sánchez, à l'aide du logiciel Pegasus. Selon un rapport voté en commission, il y auraient des "indications" sur l'implication du Maroc. Le document exige qu’une enquête soit également menée sur l’espionnage des dirigeants indépendantistes lors des procès en Catalogne.
Ces demandes ont été approuvées par le Parlement européen dans le cadre d'un rapport sur l'utilisation du logiciel espion Pegasus en Europe. Ce rapport a été adopté en commission en mai, avec le soutien du Parti populaire (PP) et du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), tandis que Ciudadanos s'est abstenu. Pour sa part, Vox a voté contre.
Plus précisément, le rapport demande une "enquête complète, équitable et efficace", au cours de laquelle tous les cas d'espionnage présumé avec Pegasus seront clarifiés, y compris les 47 cas relatifs au mouvement indépendantiste catalan et la question de savoir si le CNI a joué un rôle dans le cadre d'un mandat judiciaire.
En effet, cette nouvelle initiative du Parlement européen semble intempestive puisque les eurodéputés s'obstinent à vouloir une enquête sur les accusations d'espionnage bien que le gouvernement espagnol les ait officiellement rejetées.
Ces demandes ont été approuvées par le Parlement européen dans le cadre d'un rapport sur l'utilisation du logiciel espion Pegasus en Europe. Ce rapport a été adopté en commission en mai, avec le soutien du Parti populaire (PP) et du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), tandis que Ciudadanos s'est abstenu. Pour sa part, Vox a voté contre.
Plus précisément, le rapport demande une "enquête complète, équitable et efficace", au cours de laquelle tous les cas d'espionnage présumé avec Pegasus seront clarifiés, y compris les 47 cas relatifs au mouvement indépendantiste catalan et la question de savoir si le CNI a joué un rôle dans le cadre d'un mandat judiciaire.
En effet, cette nouvelle initiative du Parlement européen semble intempestive puisque les eurodéputés s'obstinent à vouloir une enquête sur les accusations d'espionnage bien que le gouvernement espagnol les ait officiellement rejetées.
