Le procès de Brahim Saadoun continue de faire des rebonds, chose qui ne fait que postposer l’exécution de la peine de mort à son encontre, ainsi qu'à celle de deux autres citoyens britanniques, tous reconnus coupables d’avoir combattu aux côtés des forces ukrainiennes.
« La mise en place des mesures exceptionnelles ne peut être accordée que pour des crimes portant atteinte à la vie, ainsi que pour des crimes individuels de guerre ou dans une situation belligérante, et ce vu la nécessité de protéger la souveraineté de la République et compte tenu de la situation politico-militaire actuelle, un projet de loi propose un moratoire sur l’application de la peine de mort», a précisé le parlement de Donetsk.