Une enveloppe budgétaire de 50 millions de dirhams a ainsi été mobilisée, en vue d’augmenter la capacité d’accueil des aéroports de Marrakech, Tanger et Agadir, qui ont connu une grande affluence ces derniers mois, a précisé le ministre du Transport et de la Logistique, Mohammed Abdeljalil.
L’Office national des aéroports (ONDA) a lancé des projets pour augmenter la capacité d’accueil et alléger la pression sur ces aéroports qui deviennent des destinations très prisées. Pour la réalisation de ces chantiers, une enveloppe budgétaire de 50 millions de dirhams a été programmée sur une durée de 15 mois, ce qui devrait permettre une augmentation de 25 à 50% de la capacité d’accueil des trois aéroports.
En outre, le ministre a souligné que d’autres projets portant sur la réalisation de nouveaux terminaux sont envisagés et nécessiteront une enveloppe de plus de 4 milliards de dirhams sur une durée de réalisation de 3 à 5 ans, avec pour but ultime de répondre à l’affluence prévue à l’horizon 2040.
Le ministre a ainsi précisé qu’à la faveur du développement de ces infrastructures, il est prévu une augmentation de la capacité d’accueil de l’aéroport de Tanger à 3,2 millions de voyageurs, de celui d’Agadir à 4,4 millions de passagers et de l’aéroport de Marrakech à 11,5 millions.
L’ONDA compte également réaliser un nouveau terminal à l’aéroport de Rabat-Salé afin de doter la capitale administrative d’une infrastructure moderne permettant d’accueillir 4 millions de passagers, a-t-il souligné, ajoutant que les travaux d’extension de l’aéroport d’Al Hoceïma seront lancés dans un avenir proche.
Mohammed Abdeljalil a fait savoir que l’Office se base sur deux programmes internationaux pour évaluer ses prestations de manière continue, à savoir le programme de qualité des services aéroportuaires, supervisé par le Conseil international des aéroports, et le programme mondial SKYTRAX qui s’appuie sur un benchmark et un audit détaillé de la qualité des services aéroportuaires.
La compétitivité logistique dans les aéroports
Quant à la compétitivité logistique, le ministre a indiqué qu’elle revêt une importance majeure pour le développement du Maroc. En effet, le développement du secteur reflète le développement industriel du Royaume, a-t-il souligné, preuve à l’appui : la dynamique que connaissent les zones de Tanger- Med et Kénitra en matière d’investissements étrangers.
Cela veut dire que cette dynamique a été possible grâce aux avancées significatives enregistrées par le Royaume dans le secteur des services logistiques, notamment au niveau des ports, des chemins de fer et des autoroutes. Il a, dans ce sens, précisé que le département de tutelle applique une stratégie axée sur cinq volets, en l’occurrence «le réseau intégré des zones logistiques», «l’optimisation et la massification des marchandises », «l’émergence d’acteurs performants », «le développement des compétences» et «l’amélioration de la gouvernance».
La dernière évaluation du déploiement de cette stratégie, selon le ministre, indique une bonne tenue au niveau des axes relatifs à «l’émergence d’acteurs performants », au «développement des compétences», et une régression au niveau du «réseau intégré des zones logistiques» et de «l’optimisation et la massification des marchandises». L’accélération de la mise en place des zones logistiques est en cours, a affirmé le ministre, soulignant que son département procède selon un plan d’action clair pour le réseau national, qui se compose de plusieurs plans régionaux élaborés et mis en place en étroite collaboration avec les régions.
«La première étape a été lancée à Agadir, et d’autres projets dans les régions de Kénitra, Midelt et Fès seront lancés dès l’achèvement de l’acquisition du foncier, outre des projets à Casablanca et Marrakech», a-t-il fait savoir. Quant à l’investissement en matière d’équipements, entrepôts et services logistiques, le ministre a expliqué que son exécution ne se fait qu’à travers le secteur privé, mettant l’accent dans ce sens sur l’importance de la gouvernance dans ce secteur vital pour renforcer le partenariat public-privé.
L’Office national des aéroports (ONDA) a lancé des projets pour augmenter la capacité d’accueil et alléger la pression sur ces aéroports qui deviennent des destinations très prisées. Pour la réalisation de ces chantiers, une enveloppe budgétaire de 50 millions de dirhams a été programmée sur une durée de 15 mois, ce qui devrait permettre une augmentation de 25 à 50% de la capacité d’accueil des trois aéroports.
En outre, le ministre a souligné que d’autres projets portant sur la réalisation de nouveaux terminaux sont envisagés et nécessiteront une enveloppe de plus de 4 milliards de dirhams sur une durée de réalisation de 3 à 5 ans, avec pour but ultime de répondre à l’affluence prévue à l’horizon 2040.
Le ministre a ainsi précisé qu’à la faveur du développement de ces infrastructures, il est prévu une augmentation de la capacité d’accueil de l’aéroport de Tanger à 3,2 millions de voyageurs, de celui d’Agadir à 4,4 millions de passagers et de l’aéroport de Marrakech à 11,5 millions.
L’ONDA compte également réaliser un nouveau terminal à l’aéroport de Rabat-Salé afin de doter la capitale administrative d’une infrastructure moderne permettant d’accueillir 4 millions de passagers, a-t-il souligné, ajoutant que les travaux d’extension de l’aéroport d’Al Hoceïma seront lancés dans un avenir proche.
Mohammed Abdeljalil a fait savoir que l’Office se base sur deux programmes internationaux pour évaluer ses prestations de manière continue, à savoir le programme de qualité des services aéroportuaires, supervisé par le Conseil international des aéroports, et le programme mondial SKYTRAX qui s’appuie sur un benchmark et un audit détaillé de la qualité des services aéroportuaires.
La compétitivité logistique dans les aéroports
Quant à la compétitivité logistique, le ministre a indiqué qu’elle revêt une importance majeure pour le développement du Maroc. En effet, le développement du secteur reflète le développement industriel du Royaume, a-t-il souligné, preuve à l’appui : la dynamique que connaissent les zones de Tanger- Med et Kénitra en matière d’investissements étrangers.
Cela veut dire que cette dynamique a été possible grâce aux avancées significatives enregistrées par le Royaume dans le secteur des services logistiques, notamment au niveau des ports, des chemins de fer et des autoroutes. Il a, dans ce sens, précisé que le département de tutelle applique une stratégie axée sur cinq volets, en l’occurrence «le réseau intégré des zones logistiques», «l’optimisation et la massification des marchandises », «l’émergence d’acteurs performants », «le développement des compétences» et «l’amélioration de la gouvernance».
La dernière évaluation du déploiement de cette stratégie, selon le ministre, indique une bonne tenue au niveau des axes relatifs à «l’émergence d’acteurs performants », au «développement des compétences», et une régression au niveau du «réseau intégré des zones logistiques» et de «l’optimisation et la massification des marchandises». L’accélération de la mise en place des zones logistiques est en cours, a affirmé le ministre, soulignant que son département procède selon un plan d’action clair pour le réseau national, qui se compose de plusieurs plans régionaux élaborés et mis en place en étroite collaboration avec les régions.
«La première étape a été lancée à Agadir, et d’autres projets dans les régions de Kénitra, Midelt et Fès seront lancés dès l’achèvement de l’acquisition du foncier, outre des projets à Casablanca et Marrakech», a-t-il fait savoir. Quant à l’investissement en matière d’équipements, entrepôts et services logistiques, le ministre a expliqué que son exécution ne se fait qu’à travers le secteur privé, mettant l’accent dans ce sens sur l’importance de la gouvernance dans ce secteur vital pour renforcer le partenariat public-privé.
