Depuis la reprise des relations maroco-israéliennes, le volume des échanges commerciaux entre les deux pays a atteint les 130 millions de dollars. De l’agroalimentaire au textile, en passant par la R&D, l’aéronautique ou encore l’électronique, le business entre Rabat et Tel-Aviv va bon train, enregistrant une croissance annuelle remarquable de 203% en exportations et 59% en importations.
Les produits agricoles et halieutiques se taillent la part du lion dans les importations israéliennes en provenance du Royaume, néanmoins, d’autres secteurs à fort potentiel affichent des perspectives prometteuses, d’où la mission d’affaires B2B à Tel-Aviv, prévue du 27 février au 1er mars prochains.
Dans un webinaire, tenu le 10 janvier dernier, sur le thème «Opportunités in the Israëli Market», dans le cadre de la stratégie d’accompagnement dédiée aux entreprises membres de l’ASMEX, Hassan Sentissi, président de l’Association, a exposé l’intérêt que représente pour les opérateurs marocains l’exploration du marché israélien dans une logique win-win, notant que le Royaume met en place toutes les mesures nécessaires pour encourager et faciliter la coopération économique et commerciale, en vue d’augmenter davantage le volume des échanges.
« Aujourd’hui, tous les ingrédients sont réunis pour porter les échanges entre les deux pays à un niveau supérieur ». « La mission d’affaires, prévue pour le mois prochain, va devoir capitaliser sur l’existant et prospecter les voies qui permettront la consolidation de nos exportations », nous déclare, pour sa part, Abdelaziz Bellahcen, directeur de l’ASMEX, ajoutant que trois principaux secteurs seront particulièrement mis en valeur, à savoir les produits de mer transformés, l’agroalimentaire et les produits de terroir. L’idée, selon l’ASMEX, est de quadrupler le volume des échanges commerciaux par an, tandis que Tel-Aviv cherche à hausser ses échanges avec Rabat à 500 millions de dollars.
Les produits agricoles et halieutiques se taillent la part du lion dans les importations israéliennes en provenance du Royaume, néanmoins, d’autres secteurs à fort potentiel affichent des perspectives prometteuses, d’où la mission d’affaires B2B à Tel-Aviv, prévue du 27 février au 1er mars prochains.
Dans un webinaire, tenu le 10 janvier dernier, sur le thème «Opportunités in the Israëli Market», dans le cadre de la stratégie d’accompagnement dédiée aux entreprises membres de l’ASMEX, Hassan Sentissi, président de l’Association, a exposé l’intérêt que représente pour les opérateurs marocains l’exploration du marché israélien dans une logique win-win, notant que le Royaume met en place toutes les mesures nécessaires pour encourager et faciliter la coopération économique et commerciale, en vue d’augmenter davantage le volume des échanges.
« Aujourd’hui, tous les ingrédients sont réunis pour porter les échanges entre les deux pays à un niveau supérieur ». « La mission d’affaires, prévue pour le mois prochain, va devoir capitaliser sur l’existant et prospecter les voies qui permettront la consolidation de nos exportations », nous déclare, pour sa part, Abdelaziz Bellahcen, directeur de l’ASMEX, ajoutant que trois principaux secteurs seront particulièrement mis en valeur, à savoir les produits de mer transformés, l’agroalimentaire et les produits de terroir. L’idée, selon l’ASMEX, est de quadrupler le volume des échanges commerciaux par an, tandis que Tel-Aviv cherche à hausser ses échanges avec Rabat à 500 millions de dollars.
Engagements des deux parties
Afin d’atteindre les objectifs fixés, les deux parties se sont mises d’accord sur une série d’engagements visant à créer les instruments devant favoriser la prospérité. Il s’agit en premier lieu de faciliter la participation des uns et des autres aux foires commerciales et de mettre en place les conventions économiques. Les deux parties envisagent aussi d’entreprendre des discussions afin de créer des zones industrielles qualifiées au Maroc, sans oublier l’échange d’expertise entre les deux pays et la coopération sur les questions de normalisation et de réglementation.
A cela s’ajoute l’encouragement de la coopération bilatérale entre les entités du secteur privé (associations professionnelles, Chambres de commerce,…) et la collaboration dans les domaines de la R&D, de l’innovation, des petites et moyennes entreprises et dans d’autres secteurs. Par ailleurs, l’ASMEX nous indique qu’en plus du volet de prospection commerciale, la délégation attendue en Israël veillera à promouvoir la destination Maroc, comme terre d’investissement, surtout avec le lancement de la nouvelle Charte de l’Investissement, qui propose une série d’avantages aux investisseurs de tous secteurs.
Il est à noter que, pour le moment, les projets d’investissements israéliens annoncés pour le Maroc concernent, entre autres, la santé, les énergies renouvelables, la défense, l’industrie,… avec des enveloppes budgétaires allant jusqu’à cinq milliards de dirhams.
