Au cœur de cette soirée dédiée à l’émotion et à la transmission, le vers « De mes soucis elle a pleuré » a résonné comme un écho intime et universel, incarnant la force du zajal — poésie populaire marocaine — dans sa capacité à traduire les douleurs partagées et les liens humains. Pour la critique littéraire Dr. Rachida Essalek, cette forme poétique enracinée dans la langue vernaculaire « condense les expériences de vie, les relations sociales et les émotions profondes, tout en demeurant un outil de communication universel ».
L’événement s’est distingué par une initiative inclusive inédite : la traduction du recueil en langue des signes, permettant aux personnes sourdes et malentendantes d’accéder à la richesse du sens et à la musicalité du verbe poétique. Le Dr. Abdellah Taleb a salué cette démarche comme un levier de stimulation intellectuelle et émotionnelle, favorisant l’empathie, la créativité et la découverte de soi à travers l’art.
Prenant la parole au nom des personnes en situation de handicap, M. Abderrahmane El Modni a exprimé sa reconnaissance envers les porteurs du projet, saluant « un geste profondément humain » qui réaffirme le droit de chacun à une culture partagée.
L’événement s’est distingué par une initiative inclusive inédite : la traduction du recueil en langue des signes, permettant aux personnes sourdes et malentendantes d’accéder à la richesse du sens et à la musicalité du verbe poétique. Le Dr. Abdellah Taleb a salué cette démarche comme un levier de stimulation intellectuelle et émotionnelle, favorisant l’empathie, la créativité et la découverte de soi à travers l’art.
Prenant la parole au nom des personnes en situation de handicap, M. Abderrahmane El Modni a exprimé sa reconnaissance envers les porteurs du projet, saluant « un geste profondément humain » qui réaffirme le droit de chacun à une culture partagée.




















