Alors que le RC Lens reprend l’entraînement ce vendredi, l’attention est portée sur Neil El Aynaoui, jeune milieu de terrain au profil polyvalent, auteur d’une saison convaincante sous les couleurs Sang et Or. Plus qu’un talent monté en puissance, El Aynaoui suscite un vif intérêt du côté de la sélection marocaine, qui suit de près son évolution.
Depuis plusieurs mois, Walid Regragui, le sélectionneur des Lions de l’Atlas, observe le joueur avec attention. Malgré une blessure qui l’a empêché d’être présent lors du dernier rassemblement en équipe A, El Aynaoui, qui compte déjà une cape avec l’équipe olympique marocaine, garde l’espoir d’une première convocation officielle. Lorsqu’il a marqué contre l’OM en mars, il restait prudent face aux questions sur sa carrière internationale : « Pour l’instant, j’essaie d’évoluer, de faire mon bout de chemin et ce qui doit arriver viendra. »
L’impatience est néanmoins palpable chez les supporters marocains. Adil Hermach, ancien joueur du RC Lens et désormais entraîneur, confirme : « Le Maroc l’attend avec impatience. Neil est un joueur déjà très complet, mais il peut encore progresser. » Il rappelle le rôle clé que le Lensois tient au milieu de terrain, mêlant qualités défensives et techniques, et capable de lancer efficacement les offensives. « Il est capable de faire la différence par ses passes et ses courses, notamment grâce à ses longues jambes. Quand il sera au sommet de sa forme physique, son impact sera encore plus grand. »
L’intérêt d’autres clubs, comme Monaco la saison dernière, montre aussi que le potentiel d’El Aynaoui est reconnu au-delà des frontières. Sa progression a cependant été freinée par des blessures, comme le souligne Mustapha El-Haddaoui, ancien joueur passé par Lens : « La Fédération marocaine donne désormais aux joueurs le temps de faire leur choix. Le sélectionneur Walid Regragui le suit de près, mais c’est au joueur de décider de son avenir. »
Le Maroc, pays hôte de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations (CAN) qui se déroulera du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026, nourrit de grandes ambitions pour remporter un trophée qui lui échappe depuis 1976. Avec un milieu de terrain riche en talents, la sélection peaufine sa formule pour conquérir le titre à domicile. Neil El Aynaoui, présélectionné pour l’édition 2023 mais non retenu, garde toutes ses chances de participer à la compétition.
Sa présence à la CAN pourrait toutefois impacter son club, puisque plusieurs rencontres de Ligue 1 et de Coupe de France coïncideront avec le tournoi. Mais pour un joueur prometteur et pour un Maroc ambitieux, l’enjeu sportif et symbolique dépasse largement ces contraintes.
Depuis plusieurs mois, Walid Regragui, le sélectionneur des Lions de l’Atlas, observe le joueur avec attention. Malgré une blessure qui l’a empêché d’être présent lors du dernier rassemblement en équipe A, El Aynaoui, qui compte déjà une cape avec l’équipe olympique marocaine, garde l’espoir d’une première convocation officielle. Lorsqu’il a marqué contre l’OM en mars, il restait prudent face aux questions sur sa carrière internationale : « Pour l’instant, j’essaie d’évoluer, de faire mon bout de chemin et ce qui doit arriver viendra. »
L’impatience est néanmoins palpable chez les supporters marocains. Adil Hermach, ancien joueur du RC Lens et désormais entraîneur, confirme : « Le Maroc l’attend avec impatience. Neil est un joueur déjà très complet, mais il peut encore progresser. » Il rappelle le rôle clé que le Lensois tient au milieu de terrain, mêlant qualités défensives et techniques, et capable de lancer efficacement les offensives. « Il est capable de faire la différence par ses passes et ses courses, notamment grâce à ses longues jambes. Quand il sera au sommet de sa forme physique, son impact sera encore plus grand. »
L’intérêt d’autres clubs, comme Monaco la saison dernière, montre aussi que le potentiel d’El Aynaoui est reconnu au-delà des frontières. Sa progression a cependant été freinée par des blessures, comme le souligne Mustapha El-Haddaoui, ancien joueur passé par Lens : « La Fédération marocaine donne désormais aux joueurs le temps de faire leur choix. Le sélectionneur Walid Regragui le suit de près, mais c’est au joueur de décider de son avenir. »
Le Maroc, pays hôte de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations (CAN) qui se déroulera du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026, nourrit de grandes ambitions pour remporter un trophée qui lui échappe depuis 1976. Avec un milieu de terrain riche en talents, la sélection peaufine sa formule pour conquérir le titre à domicile. Neil El Aynaoui, présélectionné pour l’édition 2023 mais non retenu, garde toutes ses chances de participer à la compétition.
Sa présence à la CAN pourrait toutefois impacter son club, puisque plusieurs rencontres de Ligue 1 et de Coupe de France coïncideront avec le tournoi. Mais pour un joueur prometteur et pour un Maroc ambitieux, l’enjeu sportif et symbolique dépasse largement ces contraintes.
