Cependant, la vérité est tout à fait différente. Le Maroc n’est pas une monarchie crépusculaire, mais une nation solide et confiante, dirigée par un Roi qui demeure le moteur de ses progrès. Mohammed VI a mis en œuvre des réformes structurelles majeures depuis plus de deux décennies, en modernisant l’économie, en développant les infrastructures, en étendant la protection sociale et en affirmant la diplomatie marocaine à l’échelle internationale. Dans un environnement régional marqué par les convulsions et les incertitudes, la Monarchie marocaine est un axe de stabilité, et elle n’est pas affaiblie.
Le Monde feint de ne pas réaliser que le Maroc est une démocratie institutionnelle, encadrée par une Constitution moderne. Amir Al-Mouminine, en tant que garant de la continuité historique et chef d’État visionnaire, incarne l’unité nationale et le fonctionnement harmonieux des institutions, tout en prônant une modernité assumée. Réduire son action à des spéculations sur sa santé ou à des anecdotes de coulisses relève non pas de l’information, mais de la diversion.
La partialité de cet article ne doit pas être surprenante. Elle s’inscrit dans une approche éditoriale où les critiques envers le Maroc se combinent souvent avec une étonnante complaisance envers des narrations hostiles, en particulier celles en provenance d’Alger. Certains relais de Le Monde sont ambigus à l’égard du régime algérien, ce qui pose question. Quand le Maroc renforce ses acquis, consolide son intégrité territoriale et affirme la marocanité du Sahara, certains cercles trouvent opportun de créer des scénarios alarmistes pour perturber la perception internationale.
Malgré tout, les faits demeurent indéniables. Le Maroc continue d’avancer. Sa jeunesse incarne l’avenir. Ses institutions tiennent bon et son peuple reste uni derrière son Roi. La perspective de la Coupe du monde 2030, organisée conjointement avec l’Espagne et le Portugal, démontre un avenir prometteur en termes de confiance et de rayonnement à l’échelle internationale.
Le Monde a fait le choix de s’enfermer dans ses obsessions idéologiques et dans une nostalgie d’analyses surannées. Il est évident que le Maroc est une Monarchie moderne, vivante et légitime, fière de son histoire et tournée vers l’avenir. Aucune caricature médiatique ni arrière-pensée politique ne peut altérer la force du lien séculaire entre le peuple marocain et son Roi.
Le Monde feint de ne pas réaliser que le Maroc est une démocratie institutionnelle, encadrée par une Constitution moderne. Amir Al-Mouminine, en tant que garant de la continuité historique et chef d’État visionnaire, incarne l’unité nationale et le fonctionnement harmonieux des institutions, tout en prônant une modernité assumée. Réduire son action à des spéculations sur sa santé ou à des anecdotes de coulisses relève non pas de l’information, mais de la diversion.
La partialité de cet article ne doit pas être surprenante. Elle s’inscrit dans une approche éditoriale où les critiques envers le Maroc se combinent souvent avec une étonnante complaisance envers des narrations hostiles, en particulier celles en provenance d’Alger. Certains relais de Le Monde sont ambigus à l’égard du régime algérien, ce qui pose question. Quand le Maroc renforce ses acquis, consolide son intégrité territoriale et affirme la marocanité du Sahara, certains cercles trouvent opportun de créer des scénarios alarmistes pour perturber la perception internationale.
Malgré tout, les faits demeurent indéniables. Le Maroc continue d’avancer. Sa jeunesse incarne l’avenir. Ses institutions tiennent bon et son peuple reste uni derrière son Roi. La perspective de la Coupe du monde 2030, organisée conjointement avec l’Espagne et le Portugal, démontre un avenir prometteur en termes de confiance et de rayonnement à l’échelle internationale.
Le Monde a fait le choix de s’enfermer dans ses obsessions idéologiques et dans une nostalgie d’analyses surannées. Il est évident que le Maroc est une Monarchie moderne, vivante et légitime, fière de son histoire et tournée vers l’avenir. Aucune caricature médiatique ni arrière-pensée politique ne peut altérer la force du lien séculaire entre le peuple marocain et son Roi.
Mohamed Laabidy
jeune activiste politique et chroniqueur
jeune activiste politique et chroniqueur