L’événement, tenu en réponse à une note du Ministère marocain de l’Aménagement du Territoire National, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la Ville, a réuni une diversité d’acteurs institutionnels, universitaires et territoriaux autour des enjeux de transformation numérique et de durabilité urbaine. 
   
Parmi les participants figuraient des représentants de l’Université Chouaib Doukkali, de l’Inspection Régionale de l’Urbanisme, de la Société Régionale Multiservices Casablanca-Settat (ex-RADEEJ), de l’ORMVAD, du Haut-commissariat au Plan, de la SAEDM, du Département de l’Équipement, ainsi que des autorités locales des provinces d’El Jadida et de Sidi Bennour.
   
Les travaux ont été ouverts par des allocutions des responsables de l’Agence Urbaine et de la région Casablanca-Settat, mettant en lumière les potentialités territoriales pour l’intégration du modèle « Smart City », notamment le port industriel de Jorf Lasfar, la ville de Mazagan et la commune d’El Jadida.
   
Les équipes techniques ont présenté plusieurs communications thématiques portant sur :
• la gouvernance des villes intelligentes et les projets pilotes au Maroc ;
• l’usage du Système d’Information Géographique (SIG) dans les documents d’urbanisme ;
• les études de cas de l’écocité de Zenata et de la ville verte de Benguerir ;
• les plateformes numériques Géoportail Taamir, E-notes de renseignement urbanistique et Rokhas.
   
Un débat ouvert a permis aux participants d’échanger sur les leviers d’une urbanisation inclusive, durable et technologiquement intégrée, en cohérence avec l’Objectif de Développement Durable n°11 des Nations Unies, visant à « faire en sorte que les villes et les établissements humains soient ouverts à tous, sûrs, résilients et durables ».
   
Cette rencontre illustre la volonté des acteurs territoriaux de promouvoir une approche de la ville intelligente centrée sur l’humain, où la technologie est mise au service de la qualité de vie, de la justice spatiale et de la résilience urbaine.
       Parmi les participants figuraient des représentants de l’Université Chouaib Doukkali, de l’Inspection Régionale de l’Urbanisme, de la Société Régionale Multiservices Casablanca-Settat (ex-RADEEJ), de l’ORMVAD, du Haut-commissariat au Plan, de la SAEDM, du Département de l’Équipement, ainsi que des autorités locales des provinces d’El Jadida et de Sidi Bennour.
Les travaux ont été ouverts par des allocutions des responsables de l’Agence Urbaine et de la région Casablanca-Settat, mettant en lumière les potentialités territoriales pour l’intégration du modèle « Smart City », notamment le port industriel de Jorf Lasfar, la ville de Mazagan et la commune d’El Jadida.
Les équipes techniques ont présenté plusieurs communications thématiques portant sur :
• la gouvernance des villes intelligentes et les projets pilotes au Maroc ;
• l’usage du Système d’Information Géographique (SIG) dans les documents d’urbanisme ;
• les études de cas de l’écocité de Zenata et de la ville verte de Benguerir ;
• les plateformes numériques Géoportail Taamir, E-notes de renseignement urbanistique et Rokhas.
Un débat ouvert a permis aux participants d’échanger sur les leviers d’une urbanisation inclusive, durable et technologiquement intégrée, en cohérence avec l’Objectif de Développement Durable n°11 des Nations Unies, visant à « faire en sorte que les villes et les établissements humains soient ouverts à tous, sûrs, résilients et durables ».
Cette rencontre illustre la volonté des acteurs territoriaux de promouvoir une approche de la ville intelligente centrée sur l’humain, où la technologie est mise au service de la qualité de vie, de la justice spatiale et de la résilience urbaine.
Mohamed LOKHNATI
  
				 









			 




 
			 






