La confrontation est survenue mardi soir, alors que les délégués internationaux s’apprêtaient à quitter le Parque da Cidade.
Les principales revendications des manifestants portaient sur les droits fonciers, la justice économique et l'opposition à l'expansion des énergies fossiles. Ils brandissaient des drapeaux et des pancartes avec des slogans tels que «Notre terre n'est pas à vendre» et «On ne mange pas d'argent… Nous voulons que nos terres soient libres de l'agro-industrie, de l'exploration pétrolière, des mineurs et des bûcherons illégaux».
Le groupe a également scandé des slogans exigeant une taxation des milliardaires pour leur rôle dans la création de «la chaleur» qui aggrave la crise climatique.
Le président hôte, Luiz Inacio Lula da Silva, a également été la cible de slogans dénonçant l'exploration pétrolière à l'embouchure de l'Amazone.
L'équipe de sécurité de l'ONU a finalement expulsé les manifestants de la zone, mais non sans qu'une altercation n'ait éclaté près de l'entrée, rapidement barricadée par les forces de sécurité à l'aide de tables.
La presse locale a rapporté qu'au moins deux membres des forces de sécurité ont été blessés lors de l'affrontement. L'un d'eux a été blessé au front par un tambour ou une baguette, et un autre aurait reçu un coup à la tête. Les forces de sécurité ont confisqué plusieurs matraques portées par les manifestants.
Peu de régions subissent autant les conséquences du changement climatique sur la santé que l'Amazonie, où se situe Belém. En 2024, la région a été frappée par une sécheresse historique, aggravée par de nombreux incendies.
Les principales revendications des manifestants portaient sur les droits fonciers, la justice économique et l'opposition à l'expansion des énergies fossiles. Ils brandissaient des drapeaux et des pancartes avec des slogans tels que «Notre terre n'est pas à vendre» et «On ne mange pas d'argent… Nous voulons que nos terres soient libres de l'agro-industrie, de l'exploration pétrolière, des mineurs et des bûcherons illégaux».
Le groupe a également scandé des slogans exigeant une taxation des milliardaires pour leur rôle dans la création de «la chaleur» qui aggrave la crise climatique.
Le président hôte, Luiz Inacio Lula da Silva, a également été la cible de slogans dénonçant l'exploration pétrolière à l'embouchure de l'Amazone.
L'équipe de sécurité de l'ONU a finalement expulsé les manifestants de la zone, mais non sans qu'une altercation n'ait éclaté près de l'entrée, rapidement barricadée par les forces de sécurité à l'aide de tables.
La presse locale a rapporté qu'au moins deux membres des forces de sécurité ont été blessés lors de l'affrontement. L'un d'eux a été blessé au front par un tambour ou une baguette, et un autre aurait reçu un coup à la tête. Les forces de sécurité ont confisqué plusieurs matraques portées par les manifestants.
Peu de régions subissent autant les conséquences du changement climatique sur la santé que l'Amazonie, où se situe Belém. En 2024, la région a été frappée par une sécheresse historique, aggravée par de nombreux incendies.





















