Dans ce cadre, un objectif s’impose désormais comme horizon : connecter 100% des Marocains, en milieu urbain comme en milieu rural, à l’eau potable. Ce n’est pas une utopie. C’est le prolongement logique d’une marche déjà entamée. Les succès accumulés au fil des décennies en témoignent : grâce à une politique volontariste, le taux de desserte en eau potable dépasse aujourd’hui 98% en milieu urbain et connaît une progression soutenue dans le rural. Des localités autrefois marginalisées disposent désormais d’un accès sécurisé, grâce aux programmes de branchements sociaux et aux efforts colossaux de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE).
Ce cap des 100% revêt une portée bien plus profonde qu’une simple statistique. C’est un acte d’égalité réelle : l’eau cesse d’être un privilège territorial pour devenir un droit universel. C’est aussi un acte de dignité : plus aucun enfant n’ira chercher l’eau à des kilomètres, plus aucune famille ne sera contrainte d’acheter à prix d’or une ressource qui devrait être un bien commun.
L’impact serait également économique. L’eau potable est un facteur direct de développement : elle permet la stabilisation des populations rurales, encourage les investissements dans l’agro-industrie, favorise le tourisme intérieur et améliore la productivité. Mais elle est aussi politique : dans un monde où les tensions liées à l’eau s’exacerbent, le Maroc peut s’imposer comme modèle de résilience et de gouvernance hydrique.
Atteindre cet horizon exige persévérance et innovation. Les grands chantiers structurants lancés — programme national de l’eau 2020-2027, dessalement à grande échelle à Casablanca, Agadir, Dakhla, Laâyoune, ou encore interconnexions hydrauliques entre bassins — constituent le socle d’un Maroc de demain où chaque citoyen, où qu’il vive, bénéficiera du même droit à l’eau potable. Mais au-delà des infrastructures, il faudra aussi éduquer à la sobriété et inscrire la culture de l’eau dans le quotidien, car l’accès universel n’a de sens que s’il s’accompagne d’un usage responsable.
Le Maroc, sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a fait de l’eau non seulement une priorité sectorielle, mais un choix de civilisation. Se projeter vers un pays 100% connecté à l’eau potable, c’est affirmer que la justice sociale et la souveraineté hydrique sont indissociables. C’est aussi inscrire l’histoire nationale dans une dynamique où l’ambition ne cède jamais devant l’adversité.
Le jour où ce cap sera atteint — et il le sera — le Maroc pourra dire qu’il a gagné non seulement la bataille de l’eau, mais aussi celle de l’équité et de la dignité.
Ce cap des 100% revêt une portée bien plus profonde qu’une simple statistique. C’est un acte d’égalité réelle : l’eau cesse d’être un privilège territorial pour devenir un droit universel. C’est aussi un acte de dignité : plus aucun enfant n’ira chercher l’eau à des kilomètres, plus aucune famille ne sera contrainte d’acheter à prix d’or une ressource qui devrait être un bien commun.
L’impact serait également économique. L’eau potable est un facteur direct de développement : elle permet la stabilisation des populations rurales, encourage les investissements dans l’agro-industrie, favorise le tourisme intérieur et améliore la productivité. Mais elle est aussi politique : dans un monde où les tensions liées à l’eau s’exacerbent, le Maroc peut s’imposer comme modèle de résilience et de gouvernance hydrique.
Atteindre cet horizon exige persévérance et innovation. Les grands chantiers structurants lancés — programme national de l’eau 2020-2027, dessalement à grande échelle à Casablanca, Agadir, Dakhla, Laâyoune, ou encore interconnexions hydrauliques entre bassins — constituent le socle d’un Maroc de demain où chaque citoyen, où qu’il vive, bénéficiera du même droit à l’eau potable. Mais au-delà des infrastructures, il faudra aussi éduquer à la sobriété et inscrire la culture de l’eau dans le quotidien, car l’accès universel n’a de sens que s’il s’accompagne d’un usage responsable.
Le Maroc, sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a fait de l’eau non seulement une priorité sectorielle, mais un choix de civilisation. Se projeter vers un pays 100% connecté à l’eau potable, c’est affirmer que la justice sociale et la souveraineté hydrique sont indissociables. C’est aussi inscrire l’histoire nationale dans une dynamique où l’ambition ne cède jamais devant l’adversité.
Le jour où ce cap sera atteint — et il le sera — le Maroc pourra dire qu’il a gagné non seulement la bataille de l’eau, mais aussi celle de l’équité et de la dignité.