Du 28 avril au 9 mai 2025, la ville de Genève a accueilli les travaux des Conférences des Parties aux Conventions de Bâle, Rotterdam et Stockholm (BRS), instruments juridiques multilatéraux essentiels pour la protection de la santé humaine et de l’environnement face aux dangers liés aux produits chimiques et aux déchets dangereux. Le Royaume du Maroc y a participé activement à travers une délégation de haut niveau, conduite par Madame Leila Benali, Ministre de la Transition Énergétique et du Développement Durable.
Cette délégation comprenait également Monsieur Omar Zniber, Ambassadeur et Représentant permanent du Royaume du Maroc à Genève, ainsi que des responsables du ministère et de la Mission permanente. Cette présence témoigne de l’engagement multidimensionnel du Royaume en faveur de la gouvernance environnementale mondiale.
Un segment ministériel stratégique placé sous le signe de la visibilité, de l’urgence et de la coopération
Madame la Ministre Leila Benali a représenté le Maroc lors du Segment de haut niveau, tenu les 30 avril et 1er mai. Organisé tous les quatre ans, ce segment constitue une plateforme d’échange privilégiée pour les ministres de l’environnement du monde entier. Placée sous le thème « Rendre visible l’invisible : pour une gestion saine des produits chimiques et des déchets », cette édition a mis en lumière l’urgence d’une action collective face à la menace croissante que représentent les substances chimiques et les déchets mal maîtrisés, tant pour la santé humaine que pour les écosystèmes.
Dans son allocution, Madame la Ministre a salué le rôle fondamental du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), principal mécanisme de financement des conventions environnementales, notamment celles portant sur les produits chimiques et les déchets. Elle a rappelé que le partenariat stratégique entre le Maroc et le FEM a permis, ces dernières années, de mobiliser plus de 150 millions de dollars de dons et de générer plus de 1,5 milliard de dollars en cofinancements publics et privés, catalysant ainsi des projets d’envergure au service du développement durable.
Un engagement environnemental inspiré par la Vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI
L’engagement du Royaume du Maroc au sein des instances multilatérales environnementales s’inscrit dans la droite ligne de la Vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste. Cette Vision place le développement durable, la solidarité intergénérationnelle et la préservation des ressources naturelles au cœur du projet de société national. Sous l’impulsion de Sa Majesté, le Royaume a engagé une transformation profonde vers une transition énergétique et écologique, conciliant croissance économique, inclusion sociale et protection de l’environnement. Ce leadership royal confère à l’action du Maroc une légitimité et une cohérence exemplaires sur la scène internationale, y compris dans le cadre des Conventions BRS.
Un plaidoyer en faveur d’actions concrètes et de financements ciblés
Madame la Ministre a insisté sur la nécessité d’allier assistance technique et mise en œuvre de projets concrets, à fort impact sur le terrain, en particulier dans les pays en développement. Elle a souligné l’importance de flécher les financements vers des actions susceptibles d’accélérer la réalisation des Objectifs de Développement Durable (ODD), notamment en matière de santé publique, de protection des écosystèmes et de résilience des territoires.
Elle a également mis en avant l’expérience du Maroc en tant que président de l’Assemblée des Nations Unies pour l’Environnement, fonction exercée durant deux années au cours desquelles le Royaume a œuvré à renforcer les synergies entre les divers instruments environnementaux multilatéraux. Cette coordination est essentielle pour accroître l’efficacité collective face aux défis mondiaux tels que la pollution chimique, le dérèglement climatique et l’érosion de la biodiversité.
Des négociations décisives au cœur des Conventions BRS
Les Conférences des Parties aux Conventions BRS ont porté sur des enjeux majeurs : l’interdiction de substances chimiques particulièrement dangereuses, leur soumission au consentement préalable avant échange commercial, ainsi que la stricte régulation des mouvements transfrontaliers de déchets dangereux. L’un des objectifs fondamentaux de ces instruments est d’éviter le transfert des risques vers les pays à faibles capacités de gestion, notamment dans les pays du Sud.
Les parties ont également examiné les dispositifs de gestion rationnelle des produits chimiques, les mécanismes de renforcement des capacités techniques, et les stratégies de mobilisation de financements en faveur des pays les plus vulnérables. Une participation renforcée des bailleurs de fonds est attendue pour garantir la mise en œuvre effective des décisions adoptées.
Renforcement de la coopération bilatérale et multilatérale
En marge des négociations, Madame Benali a tenu plusieurs entretiens bilatéraux avec ses homologues et des hauts responsables d’organisations internationales, contribuant au renforcement des coopérations Sud-Sud et Nord-Sud. Ces échanges ont permis de partager des expériences innovantes en matière de gestion durable des produits chimiques et des déchets, et d’explorer de nouvelles opportunités pour mobiliser des ressources supplémentaires en faveur de la lutte contre la pollution.
Un engagement constant et structurant
La participation du Royaume aux Conventions BRS illustre une politique environnementale nationale cohérente, fondée sur les principes de précaution, de responsabilité partagée et de durabilité. Forte de ses initiatives internes, de ses alliances stratégiques et de sa diplomatie proactive, le Maroc affirme son statut de leader régional et continental dans le domaine de la transition écologique.
Cette délégation comprenait également Monsieur Omar Zniber, Ambassadeur et Représentant permanent du Royaume du Maroc à Genève, ainsi que des responsables du ministère et de la Mission permanente. Cette présence témoigne de l’engagement multidimensionnel du Royaume en faveur de la gouvernance environnementale mondiale.
Un segment ministériel stratégique placé sous le signe de la visibilité, de l’urgence et de la coopération
Madame la Ministre Leila Benali a représenté le Maroc lors du Segment de haut niveau, tenu les 30 avril et 1er mai. Organisé tous les quatre ans, ce segment constitue une plateforme d’échange privilégiée pour les ministres de l’environnement du monde entier. Placée sous le thème « Rendre visible l’invisible : pour une gestion saine des produits chimiques et des déchets », cette édition a mis en lumière l’urgence d’une action collective face à la menace croissante que représentent les substances chimiques et les déchets mal maîtrisés, tant pour la santé humaine que pour les écosystèmes.
Dans son allocution, Madame la Ministre a salué le rôle fondamental du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), principal mécanisme de financement des conventions environnementales, notamment celles portant sur les produits chimiques et les déchets. Elle a rappelé que le partenariat stratégique entre le Maroc et le FEM a permis, ces dernières années, de mobiliser plus de 150 millions de dollars de dons et de générer plus de 1,5 milliard de dollars en cofinancements publics et privés, catalysant ainsi des projets d’envergure au service du développement durable.
Un engagement environnemental inspiré par la Vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI
L’engagement du Royaume du Maroc au sein des instances multilatérales environnementales s’inscrit dans la droite ligne de la Vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste. Cette Vision place le développement durable, la solidarité intergénérationnelle et la préservation des ressources naturelles au cœur du projet de société national. Sous l’impulsion de Sa Majesté, le Royaume a engagé une transformation profonde vers une transition énergétique et écologique, conciliant croissance économique, inclusion sociale et protection de l’environnement. Ce leadership royal confère à l’action du Maroc une légitimité et une cohérence exemplaires sur la scène internationale, y compris dans le cadre des Conventions BRS.
Un plaidoyer en faveur d’actions concrètes et de financements ciblés
Madame la Ministre a insisté sur la nécessité d’allier assistance technique et mise en œuvre de projets concrets, à fort impact sur le terrain, en particulier dans les pays en développement. Elle a souligné l’importance de flécher les financements vers des actions susceptibles d’accélérer la réalisation des Objectifs de Développement Durable (ODD), notamment en matière de santé publique, de protection des écosystèmes et de résilience des territoires.
Elle a également mis en avant l’expérience du Maroc en tant que président de l’Assemblée des Nations Unies pour l’Environnement, fonction exercée durant deux années au cours desquelles le Royaume a œuvré à renforcer les synergies entre les divers instruments environnementaux multilatéraux. Cette coordination est essentielle pour accroître l’efficacité collective face aux défis mondiaux tels que la pollution chimique, le dérèglement climatique et l’érosion de la biodiversité.
Des négociations décisives au cœur des Conventions BRS
Les Conférences des Parties aux Conventions BRS ont porté sur des enjeux majeurs : l’interdiction de substances chimiques particulièrement dangereuses, leur soumission au consentement préalable avant échange commercial, ainsi que la stricte régulation des mouvements transfrontaliers de déchets dangereux. L’un des objectifs fondamentaux de ces instruments est d’éviter le transfert des risques vers les pays à faibles capacités de gestion, notamment dans les pays du Sud.
Les parties ont également examiné les dispositifs de gestion rationnelle des produits chimiques, les mécanismes de renforcement des capacités techniques, et les stratégies de mobilisation de financements en faveur des pays les plus vulnérables. Une participation renforcée des bailleurs de fonds est attendue pour garantir la mise en œuvre effective des décisions adoptées.
Renforcement de la coopération bilatérale et multilatérale
En marge des négociations, Madame Benali a tenu plusieurs entretiens bilatéraux avec ses homologues et des hauts responsables d’organisations internationales, contribuant au renforcement des coopérations Sud-Sud et Nord-Sud. Ces échanges ont permis de partager des expériences innovantes en matière de gestion durable des produits chimiques et des déchets, et d’explorer de nouvelles opportunités pour mobiliser des ressources supplémentaires en faveur de la lutte contre la pollution.
Un engagement constant et structurant
La participation du Royaume aux Conventions BRS illustre une politique environnementale nationale cohérente, fondée sur les principes de précaution, de responsabilité partagée et de durabilité. Forte de ses initiatives internes, de ses alliances stratégiques et de sa diplomatie proactive, le Maroc affirme son statut de leader régional et continental dans le domaine de la transition écologique.
Conclusion
À Genève, le Maroc a réaffirmé avec clarté et conviction son attachement à un multilatéralisme environnemental ambitieux, fondé sur la science, la solidarité et la coopération. Sous la conduite de Madame Leila Benali et dans le cadre de la Vision Royale de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Royaume plaide pour une gouvernance internationale plus équitable et plus efficace en matière de produits chimiques et de déchets, ainsi que pour une mobilisation renforcée des ressources techniques et financières en faveur d’un avenir sain, sûr et résilient.
Dans un contexte mondial marqué par une crise environnementale systémique, le Maroc entend continuer à faire entendre sa voix, partager son expertise, et contribuer activement à la construction d’un avenir durable pour les générations présentes et futures.
Dans un contexte mondial marqué par une crise environnementale systémique, le Maroc entend continuer à faire entendre sa voix, partager son expertise, et contribuer activement à la construction d’un avenir durable pour les générations présentes et futures.
