Présidée par le gouverneur Mounir Houari, cette réunion a réuni élus, représentants de l’administration, acteurs de la société civile et experts du développement autour d’un objectif commun : définir des projets conçus localement, dans une logique participative et inclusive.
« Ces programmes se distinguent par leur ancrage territorial et leur approche concertée, mettant le citoyen au cœur de la stratégie », a déclaré M. Houari en marge de la rencontre. Il a précisé que la phase de mise en œuvre débutera dès le premier trimestre 2026, avec une attention particulière portée à l’adaptation des projets aux spécificités locales.
Outre les grands chantiers structurants, le gouverneur a insisté sur la nécessité de promouvoir un développement durable et intégré, fondé sur les atouts de chaque territoire. Il a également salué la vision royale qui guide cette dynamique, qualifiée de « particulière et innovante ».
La province de Sidi Bennour, située à proximité de Casablanca et des principaux ports du Royaume, dispose d’un potentiel logistique et agricole considérable. Avec 247 000 hectares de terres cultivables, dont 72 000 irrigués, et un cheptel de plus de 750 000 têtes, elle s’impose comme un acteur clé de la souveraineté alimentaire nationale.
Le territoire abrite également le plus grand complexe sucrier du Maroc et bénéficie d’un tissu commercial dynamique, soutenu par des marchés hebdomadaires et une main-d’œuvre qualifiée. La façade maritime de Oualidia, reconnue pour son attrait touristique, offre des perspectives prometteuses pour le développement du littoral.
Malgré ces atouts, la province fait face à plusieurs défis : insuffisance des infrastructures routières, déficit en équipements sanitaires et scolaires dans les zones rurales, faible diversification industrielle et sous-exploitation du potentiel touristique.
Face à ces enjeux, les autorités locales entendent impulser une dynamique de transformation fondée sur l’investissement territorial, la valorisation des ressources humaines et la mobilisation des partenaires publics et privés. Objectif affiché : faire de Sidi Bennour un territoire d’excellence, tourné vers l’innovation, la durabilité et le progrès partagé.
« Ces programmes se distinguent par leur ancrage territorial et leur approche concertée, mettant le citoyen au cœur de la stratégie », a déclaré M. Houari en marge de la rencontre. Il a précisé que la phase de mise en œuvre débutera dès le premier trimestre 2026, avec une attention particulière portée à l’adaptation des projets aux spécificités locales.
Outre les grands chantiers structurants, le gouverneur a insisté sur la nécessité de promouvoir un développement durable et intégré, fondé sur les atouts de chaque territoire. Il a également salué la vision royale qui guide cette dynamique, qualifiée de « particulière et innovante ».
La province de Sidi Bennour, située à proximité de Casablanca et des principaux ports du Royaume, dispose d’un potentiel logistique et agricole considérable. Avec 247 000 hectares de terres cultivables, dont 72 000 irrigués, et un cheptel de plus de 750 000 têtes, elle s’impose comme un acteur clé de la souveraineté alimentaire nationale.
Le territoire abrite également le plus grand complexe sucrier du Maroc et bénéficie d’un tissu commercial dynamique, soutenu par des marchés hebdomadaires et une main-d’œuvre qualifiée. La façade maritime de Oualidia, reconnue pour son attrait touristique, offre des perspectives prometteuses pour le développement du littoral.
Malgré ces atouts, la province fait face à plusieurs défis : insuffisance des infrastructures routières, déficit en équipements sanitaires et scolaires dans les zones rurales, faible diversification industrielle et sous-exploitation du potentiel touristique.
Face à ces enjeux, les autorités locales entendent impulser une dynamique de transformation fondée sur l’investissement territorial, la valorisation des ressources humaines et la mobilisation des partenaires publics et privés. Objectif affiché : faire de Sidi Bennour un territoire d’excellence, tourné vers l’innovation, la durabilité et le progrès partagé.
Mohamed LOKHNATI





















