Au centre de cette scène littéraire, Bouchaïb Douib, explorateur des âmes et arpenteur des dynamiques humaines, a présenté le fruit de deux années de recherche à l'École Normale Supérieure des Professeurs – un ouvrage aussi dense qu'une forêt ancienne, où chaque page est une clairière illuminée par la pensée.
S'appuyant sur les réflexions des grands bâtisseurs de l'intellect – Nuttin, Linton, Cattell, Heymans, Wiersma, Young, Kretschmer, Bridger, Dabesse, Benn, Sheats, Kurt Lewin, Durkheim et Rogers – Douib a dévoilé les trames invisibles qui lient les êtres, révélant que, malgré l'existence de seulement huit grandes typologies, chaque être reste unique, une note singulière dans la vaste symphonie des interactions humaines.
Au cœur de cette réflexion se trouve la sociométrie, l'étude des relations au sein des groupes, discipline fondée par Jacob Moreno en 1930. Cette approche scientifique, pionnière en son temps, vise à mesurer les liens et les choix interpersonnels, à cartographier l'attraction sociale par des outils tels que les sociogrammes et les sociomatrices, qui rendent visible l'invisible, mettant en lumière les affinités, les alliances et les isolations qui tissent la trame des relations humaines.
Au fil des échanges, les élèves professeurs, loin de simples spectateurs, sont devenus acteurs, franchissant le seuil de l'écoute passive pour se risquer sur la scène du débat. Leurs questions, incisives et vivantes, ont résonné comme des échos dans l'architecture de l'œuvre, révélant l'élasticité des idées et la profondeur des liens sociaux. Chaque intervention a été un pas de plus dans cette chorégraphie intellectuelle, où les voix se sont croisées et les pensées se sont entrelacées, comme les fils d'une tapisserie en pleine création.
Animée par M. Abdelhak Houmane, cette rencontre a ainsi transformé l'espace en un laboratoire vivant, où les esprits se sont frottés les uns aux autres, comme des pierres à feu, faisant jaillir des étincelles de compréhension et de découverte, rappelant que, dans chaque groupe, c'est la parole qui forge les liens et enflamme les idées.
S'appuyant sur les réflexions des grands bâtisseurs de l'intellect – Nuttin, Linton, Cattell, Heymans, Wiersma, Young, Kretschmer, Bridger, Dabesse, Benn, Sheats, Kurt Lewin, Durkheim et Rogers – Douib a dévoilé les trames invisibles qui lient les êtres, révélant que, malgré l'existence de seulement huit grandes typologies, chaque être reste unique, une note singulière dans la vaste symphonie des interactions humaines.
Au cœur de cette réflexion se trouve la sociométrie, l'étude des relations au sein des groupes, discipline fondée par Jacob Moreno en 1930. Cette approche scientifique, pionnière en son temps, vise à mesurer les liens et les choix interpersonnels, à cartographier l'attraction sociale par des outils tels que les sociogrammes et les sociomatrices, qui rendent visible l'invisible, mettant en lumière les affinités, les alliances et les isolations qui tissent la trame des relations humaines.
Au fil des échanges, les élèves professeurs, loin de simples spectateurs, sont devenus acteurs, franchissant le seuil de l'écoute passive pour se risquer sur la scène du débat. Leurs questions, incisives et vivantes, ont résonné comme des échos dans l'architecture de l'œuvre, révélant l'élasticité des idées et la profondeur des liens sociaux. Chaque intervention a été un pas de plus dans cette chorégraphie intellectuelle, où les voix se sont croisées et les pensées se sont entrelacées, comme les fils d'une tapisserie en pleine création.
Animée par M. Abdelhak Houmane, cette rencontre a ainsi transformé l'espace en un laboratoire vivant, où les esprits se sont frottés les uns aux autres, comme des pierres à feu, faisant jaillir des étincelles de compréhension et de découverte, rappelant que, dans chaque groupe, c'est la parole qui forge les liens et enflamme les idées.
Mohamed LOKHNATI