La première phase est celle du démarrage du montage automobile amorcée en 1959 par la promulgation du dahir (décret royal) relatif à la création de la SOMACA dont l’activité se focalisait alors sur l’assemblage de pièces et ensembles mécaniques et de carrosseries de véhicules de tourisme et utilitaires au profit des marques Fiat, Citroën et Renault.
La seconde phase correspond au développement de l’industrie de fabrication de composants automobiles. Elle s’amorce en 1995 avec la conclusion avec Fiat Auto S.P.A d’une convention portant sur le projet de voiture économique (50% de taux d’intégration) et se poursuit avec la signature, en 1996, de deux conventions avec PSA Peugeot - Citroën et Renault pour le montage de véhicules utilitaires légers économiques à un taux d’intégration/compensation de 100% (25% Intégration, 75% Compensation).
Ces projets, qui ont eu pour effet d’accroître la demande locale en composants automobiles, ont été de réels catalyseurs pour le développement de la sous-traitance automobile au Maroc, et pour amorcer une phase déterminante dans l’évolution du secteur, celle de l’implantation de nouveaux équipementiers mondiaux.
La quatrième phase de développement de l’industrie automobile est celle de la libération du secteur, marquée par la privatisation de la SOMACA et la conclusion, en juillet 2003, d’un accord avec Renault portant le projet industriel de montage de la voiture familiale « Dacia Logan » destinée aussi bien au marché local qu’à l’export. Avec le déploiement de ce projet, Renault a procédé à l’extension de la SOMACA afin d’augmenter sa capacité de production pour approvisionner certains pays d’Europe de l’Ouest, notamment la France et l’Espagne, ainsi que les marchés arabes méditerranéens dans le cadre de l’accord d’Agadir.
Le démarrage de l’activité du complexe industriel de Renault Tanger, en février 2012, marque le début de la phase cinq, une étape décisive pour le secteur qui s’oriente désormais vers le segment de la construction automobile favorisant ainsi l’émergence d’une base automobile marocaine de rang mondial. Lors de cette phase de nouveaux équipementiers et sous- traitants ont fait le choix de s’implanter au Maroc.
Le lancement du Plan d’Accélération Industrielle 2014-2020 (PAI), en avril 2014, renforce les acquis d’un secteur dynamique et performant et initie la phase de développement des écosystèmes automobiles dont le lancement en octobre 2014, confère davantage de vigueur au secteur et favorise une intégration plus forte et une meilleure coordination de ses secteurs.
La seconde phase correspond au développement de l’industrie de fabrication de composants automobiles. Elle s’amorce en 1995 avec la conclusion avec Fiat Auto S.P.A d’une convention portant sur le projet de voiture économique (50% de taux d’intégration) et se poursuit avec la signature, en 1996, de deux conventions avec PSA Peugeot - Citroën et Renault pour le montage de véhicules utilitaires légers économiques à un taux d’intégration/compensation de 100% (25% Intégration, 75% Compensation).
Ces projets, qui ont eu pour effet d’accroître la demande locale en composants automobiles, ont été de réels catalyseurs pour le développement de la sous-traitance automobile au Maroc, et pour amorcer une phase déterminante dans l’évolution du secteur, celle de l’implantation de nouveaux équipementiers mondiaux.
La quatrième phase de développement de l’industrie automobile est celle de la libération du secteur, marquée par la privatisation de la SOMACA et la conclusion, en juillet 2003, d’un accord avec Renault portant le projet industriel de montage de la voiture familiale « Dacia Logan » destinée aussi bien au marché local qu’à l’export. Avec le déploiement de ce projet, Renault a procédé à l’extension de la SOMACA afin d’augmenter sa capacité de production pour approvisionner certains pays d’Europe de l’Ouest, notamment la France et l’Espagne, ainsi que les marchés arabes méditerranéens dans le cadre de l’accord d’Agadir.
Le démarrage de l’activité du complexe industriel de Renault Tanger, en février 2012, marque le début de la phase cinq, une étape décisive pour le secteur qui s’oriente désormais vers le segment de la construction automobile favorisant ainsi l’émergence d’une base automobile marocaine de rang mondial. Lors de cette phase de nouveaux équipementiers et sous- traitants ont fait le choix de s’implanter au Maroc.
Le lancement du Plan d’Accélération Industrielle 2014-2020 (PAI), en avril 2014, renforce les acquis d’un secteur dynamique et performant et initie la phase de développement des écosystèmes automobiles dont le lancement en octobre 2014, confère davantage de vigueur au secteur et favorise une intégration plus forte et une meilleure coordination de ses secteurs.
(Source : FLANDERS INVESTMENT & TRADE CASABLANCA)