La crise sanitaire a eu un effet dévastateur sur tous les plans de cette industrie, notamment avec la fermeture de sites, d’institutions et d’installations culturels, ayant entraîné une réduction considérable de la croissance et de la production du domaine.
L’approche de cette industrie culturelle, facteur puissant de la production créative, s’est quant à elle métamorphosée, sous l’effet du confinement, l’une des principales mesures adoptées pour juguler la propagation de la Covid-19.
C’est dans ce sens que la digitalisation a pris le dessus, altérant la perception du public, qui s’est tourné vers de nouvelles habitudes de consommation culturelles, sans possibilité peut-être de retour vers les anciennes habitudes.
Face à ce constat et pour surmonter cette crise qui a mis à mal un secteur clé dans l’épanouissement de chaque individu, plusieurs mesures ont été adoptées afin d’atténuer les retombées de la pandémie sur le milieu culturel et permettre, ainsi, sa relance.
De ce fait, l’Organisation des Nations unies pour l’Éducation, la Science et la Culture (UNESCO) a lancé, le 15 avril dernier, un mouvement culturel global sous l’appellation de «ResiliArt». Sous forme d’une série de débats virtuels en format ouvert, «ResiliArt» a permis à «plus de 1.000 artistes et professionnels de la culture du monde entier de partager leurs histoires et de proposer des recommandations pour que les secteurs culturels et créatifs puissent sortir plus forts et plus unis de cette crise».
Un guide de politiques pour un secteur créatif résilient avait donc été amorcé par l’UNESCO en vue de «mobiliser la communauté internationale dans un effort collectif, pour soutenir les artistes et les professionnels de la culture et garantir l’accès à la culture pour tous».
Au niveau national, le Maroc a déployé un programme exceptionnel de soutien aux acteurs des mondes de la culture, de l’art et de la création.
En plus de la publication d’un guide accompagnant la reprise des activités culturelles durant la phase de post-confinement, le ministère de la Culture, de la Jeunesse et des Sports avait annoncé l’adoption d’une panoplie de mesures, visant à atténuer l’impact socio-économique de l’état d’urgence sanitaire.
Par ailleurs, cette année si singulière a été marquée par la disparition de nombreux artistes qui ont laissé derrière eux un héritage intellectuel important.
L’approche de cette industrie culturelle, facteur puissant de la production créative, s’est quant à elle métamorphosée, sous l’effet du confinement, l’une des principales mesures adoptées pour juguler la propagation de la Covid-19.
C’est dans ce sens que la digitalisation a pris le dessus, altérant la perception du public, qui s’est tourné vers de nouvelles habitudes de consommation culturelles, sans possibilité peut-être de retour vers les anciennes habitudes.
Face à ce constat et pour surmonter cette crise qui a mis à mal un secteur clé dans l’épanouissement de chaque individu, plusieurs mesures ont été adoptées afin d’atténuer les retombées de la pandémie sur le milieu culturel et permettre, ainsi, sa relance.
De ce fait, l’Organisation des Nations unies pour l’Éducation, la Science et la Culture (UNESCO) a lancé, le 15 avril dernier, un mouvement culturel global sous l’appellation de «ResiliArt». Sous forme d’une série de débats virtuels en format ouvert, «ResiliArt» a permis à «plus de 1.000 artistes et professionnels de la culture du monde entier de partager leurs histoires et de proposer des recommandations pour que les secteurs culturels et créatifs puissent sortir plus forts et plus unis de cette crise».
Un guide de politiques pour un secteur créatif résilient avait donc été amorcé par l’UNESCO en vue de «mobiliser la communauté internationale dans un effort collectif, pour soutenir les artistes et les professionnels de la culture et garantir l’accès à la culture pour tous».
Au niveau national, le Maroc a déployé un programme exceptionnel de soutien aux acteurs des mondes de la culture, de l’art et de la création.
En plus de la publication d’un guide accompagnant la reprise des activités culturelles durant la phase de post-confinement, le ministère de la Culture, de la Jeunesse et des Sports avait annoncé l’adoption d’une panoplie de mesures, visant à atténuer l’impact socio-économique de l’état d’urgence sanitaire.
Par ailleurs, cette année si singulière a été marquée par la disparition de nombreux artistes qui ont laissé derrière eux un héritage intellectuel important.