Le général Juan Carlos Domingo Guerra expose dans son livre la réalité des forces armées et les risques qui guettent l'Espagne et le monde, grâce à son expertise avec les organisations internationales, les missions à l’étranger et l’univers de la défense d’une manière générale.
Domingo affirme à ce sujet que les revendications marocaines sur Ceuta et Melillia « sont toujours de mise» et ce, en dépit de la nouvelle phase entamée entre le Maroc et l’Espagne.
Rappelons-le, les deux pays ont tenu au mois de février leur Réunion de Haut Niveau (RHN) sous la présidence conjointe du Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, et du Président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez.
En raison « d'une anomalie dans le système de sécurité et de la défense espagnol, « Ceuta et Mellilia ne sont pas bien défendues », selon Domingo. A la lumière de ce constat, il a fait part « de doutes relatifs à la solidarité des alliés en cas d'attaque marocaine, car les Etats-Unis assurent la direction de l'OTAN et considèrent le Maroc en tant qu’allié privilégié ».
Pour rappel, L'OTAN avait refusé d'acter, lors de son Sommet régulier tenu les 29 et 30 juin 2022 à Madrid, l'intégration de Ceuta et Melillia dans son champ d'action, ce qui a contrarié Madrid qui voulait placer les deux villes occupées sous protection de l'organisation.
Le secrétaire général de l’OTAN avait déclaré à cet égard que « le fait de placer les deux villes sous la protection de l’OTAN relève d’une décision politique », ce qui impliquerait « une décision qui devrait donc être prise», selon Jens Stoltenberg, «par consensus par tous les alliés au sein du conseil de l'organisation ».
Domingo affirme à ce sujet que les revendications marocaines sur Ceuta et Melillia « sont toujours de mise» et ce, en dépit de la nouvelle phase entamée entre le Maroc et l’Espagne.
Rappelons-le, les deux pays ont tenu au mois de février leur Réunion de Haut Niveau (RHN) sous la présidence conjointe du Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, et du Président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez.
En raison « d'une anomalie dans le système de sécurité et de la défense espagnol, « Ceuta et Mellilia ne sont pas bien défendues », selon Domingo. A la lumière de ce constat, il a fait part « de doutes relatifs à la solidarité des alliés en cas d'attaque marocaine, car les Etats-Unis assurent la direction de l'OTAN et considèrent le Maroc en tant qu’allié privilégié ».
Pour rappel, L'OTAN avait refusé d'acter, lors de son Sommet régulier tenu les 29 et 30 juin 2022 à Madrid, l'intégration de Ceuta et Melillia dans son champ d'action, ce qui a contrarié Madrid qui voulait placer les deux villes occupées sous protection de l'organisation.
Le secrétaire général de l’OTAN avait déclaré à cet égard que « le fait de placer les deux villes sous la protection de l’OTAN relève d’une décision politique », ce qui impliquerait « une décision qui devrait donc être prise», selon Jens Stoltenberg, «par consensus par tous les alliés au sein du conseil de l'organisation ».