Cette manifestation artistique a connut la participation de plusieurs figures et créations pour fêter le 56ème printemps de ce festival a Tunis. Plus d’un demi-siècle d’engagement au service des cinémas africain, arabe, asiatique et latino-américain, pour s’ouvrir au meilleur des productions cinématographiques mondiales.
Lors de ce festival, le film "La vie me va bien", réalisé par Al Hadi Ulad-Mohand a emporté le prix "Semaine de la Critique de Carthage". Le président du jury, critique de cinéma et réalisateur, Serge Albert Toubiana, a révélé qu’il s’agit d’un film puissant qui représente un portrait humain qui, à travers des interprétations remarquables et images captivantes, portait à l’écran un regard plein d’empathie sur les blessures familiales.
Ce film compte 92 minutes et raconte l’histoire de Fouad, seul salarié d’un bureau de la Poste dans une petite ville du Nord du Maroc. Une maladie neurologique change sa vie et celle de sa famille et une nouvelle histoire commence pour lui, sa femme et leurs enfants. Leur maison va se remplir d’amour, de chagrin et de souvenirs. Alors que Fouad est sur le point de mourir, les membres de sa famille se redécouvrent. Au fur et à mesure que le temps passe, les blessures apparaissent, mais le désir de vivre est insatiable.
Lors de cette impressionnante édition, le jury a consacré le prix de la meilleure musique originale à Kamal Kamal pour son œuvre dans le film marocain "L’esclave" de Abdelilah El Jaouhari. Puis le prix du Centre National du Cinéma à Omar Mouldouira pour son travail "Un été à Boujad". Et Le film tanzanien "Les révoltés", du réalisateur Amil Shivji, a remporté le Tanit d'or, récompense suprême de ces Journées cinématographiques de Carthage.
"Les Révoltés" traite de l'amour et de la politique pendant les dernières années de la colonisation britannique à Zanzibar. Les long-métrages "Sous les figues" de la Tunisienne Erige Sehiri et "Sharaf" de l’Egyptien Samir Nasr, ont remporté respectivement le Tanit d’argent et de bronze.
Enfin, cette année le Maroc était représenté par huit films dont "Fatema, la Sultane inoubliable", long métrage de Mohammed Abderrahman Tazi, projeté, en avant-première à l'ouverture de ces Journées, organisées du 29 octobre au 5 novembre à Tunis. Puis les longs-métrages "L'esclave" de Abdelilah El Jaouhari et "Children’s Game" de Rim Mejdi.
Ce festival créé par une poignée d'intellectuels tunisiens réalise cette compétition officielle destinée aux productions cinématographiques arabes et africaines récentes pour se démarquer et célébrer l’art.
Lors de ce festival, le film "La vie me va bien", réalisé par Al Hadi Ulad-Mohand a emporté le prix "Semaine de la Critique de Carthage". Le président du jury, critique de cinéma et réalisateur, Serge Albert Toubiana, a révélé qu’il s’agit d’un film puissant qui représente un portrait humain qui, à travers des interprétations remarquables et images captivantes, portait à l’écran un regard plein d’empathie sur les blessures familiales.
Ce film compte 92 minutes et raconte l’histoire de Fouad, seul salarié d’un bureau de la Poste dans une petite ville du Nord du Maroc. Une maladie neurologique change sa vie et celle de sa famille et une nouvelle histoire commence pour lui, sa femme et leurs enfants. Leur maison va se remplir d’amour, de chagrin et de souvenirs. Alors que Fouad est sur le point de mourir, les membres de sa famille se redécouvrent. Au fur et à mesure que le temps passe, les blessures apparaissent, mais le désir de vivre est insatiable.
Lors de cette impressionnante édition, le jury a consacré le prix de la meilleure musique originale à Kamal Kamal pour son œuvre dans le film marocain "L’esclave" de Abdelilah El Jaouhari. Puis le prix du Centre National du Cinéma à Omar Mouldouira pour son travail "Un été à Boujad". Et Le film tanzanien "Les révoltés", du réalisateur Amil Shivji, a remporté le Tanit d'or, récompense suprême de ces Journées cinématographiques de Carthage.
"Les Révoltés" traite de l'amour et de la politique pendant les dernières années de la colonisation britannique à Zanzibar. Les long-métrages "Sous les figues" de la Tunisienne Erige Sehiri et "Sharaf" de l’Egyptien Samir Nasr, ont remporté respectivement le Tanit d’argent et de bronze.
Enfin, cette année le Maroc était représenté par huit films dont "Fatema, la Sultane inoubliable", long métrage de Mohammed Abderrahman Tazi, projeté, en avant-première à l'ouverture de ces Journées, organisées du 29 octobre au 5 novembre à Tunis. Puis les longs-métrages "L'esclave" de Abdelilah El Jaouhari et "Children’s Game" de Rim Mejdi.
Ce festival créé par une poignée d'intellectuels tunisiens réalise cette compétition officielle destinée aux productions cinématographiques arabes et africaines récentes pour se démarquer et célébrer l’art.