Près de la moitié de la population, soit 7,1 millions de Somaliens, est exposée à une famine qui frappe la région à cause des précipitations insuffisantes que le pays situé à l'extrémité orientale de la Corne de l'Afrique, a connu durant les quatre dernières saisons des pluies depuis fin 2020.
Des hôpitaux débordés par l’immense nombre des enfants en situation de malnutrition grave, et des parents qui traversent des milliers de kilomètres pour chercher de l’aide à leurs enfants en proie d’une malédiction qui hante le pays depuis des centaines d’années.
Les médias, présents sur place pour reporter cette crise, ont reçu des déclarations déchirantes, un père avec les pieds qui saignent et les paupières remplissent de larme, raconte son aventure pour ramener de son village d'Afgooy Jiido pour gagner en marche, en plusieurs journée de route, la capitale Mogadiscio, et sauver son bébé que le corps à commencer à se gonfler à cause de malnutrition sévère.
« J’appelle le peuple somalien de la diaspora et le monde à sauver notre peuple qui a été affecté par les sécheresses. L’objectif doit être d’éviter que la sécheresse ne s’aggrave et ne provoque une famine », a déclaré, Hassan Cheikh Mohamoud, président de république somalien.
Khadija Mohamed Hassan, une femme de 45 ans, qui amené à l'hôpital Bilal, son fils de 14 mois, placé sous perfusions, a affirmé dans une déclaration à TV5MONDE, que « Les récoltes n'ont pas eu lieu. Nous avons perdu notre bétail. La rivière s'est asséchée », et ajoute dans le même contexte, « J'ai 45 ans et je n'ai jamais vu une sécheresse aussi dévastatrice de ma vie. Nous vivons dans les pires conditions de notre époque ».
« J'avais l'habitude de l'allaiter. Mais je suis tombée malade à cause du manque de nourriture. Et elle est devenue si maigre que j'ai décidé de l'amener ici. Au moins, elle peut avoir du lait et des médicaments », a raconté Nimco Abdi, dans un entretien avec BBC, en plaçant délicatement sa petite fille de six mois sur une bassine en plastique soutenue par des cordes de sisal. La bassine a marqué 4 Kg, la moitié de ce que devrait être le poids idéal de l'enfant.
Les histoires, communiqué ci-dessus, font partie de nombreuses d’autres, des parents qui risquent de voir leurs enfants mourir de malnutrition, sachant que 1,5 milliards de dollars est suffisant pour éviter une répétition de la famine de 2011 qui avait tué 260 000 personnes.
La question qui se pose actuellement, c’est, qu’attendent les organisations internationales et les états du monde pour intervenir et sauver l’humanité de l’effondrement de l’Afrique ? l’avenir nous répondra !
Des hôpitaux débordés par l’immense nombre des enfants en situation de malnutrition grave, et des parents qui traversent des milliers de kilomètres pour chercher de l’aide à leurs enfants en proie d’une malédiction qui hante le pays depuis des centaines d’années.
Les médias, présents sur place pour reporter cette crise, ont reçu des déclarations déchirantes, un père avec les pieds qui saignent et les paupières remplissent de larme, raconte son aventure pour ramener de son village d'Afgooy Jiido pour gagner en marche, en plusieurs journée de route, la capitale Mogadiscio, et sauver son bébé que le corps à commencer à se gonfler à cause de malnutrition sévère.
« J’appelle le peuple somalien de la diaspora et le monde à sauver notre peuple qui a été affecté par les sécheresses. L’objectif doit être d’éviter que la sécheresse ne s’aggrave et ne provoque une famine », a déclaré, Hassan Cheikh Mohamoud, président de république somalien.
Khadija Mohamed Hassan, une femme de 45 ans, qui amené à l'hôpital Bilal, son fils de 14 mois, placé sous perfusions, a affirmé dans une déclaration à TV5MONDE, que « Les récoltes n'ont pas eu lieu. Nous avons perdu notre bétail. La rivière s'est asséchée », et ajoute dans le même contexte, « J'ai 45 ans et je n'ai jamais vu une sécheresse aussi dévastatrice de ma vie. Nous vivons dans les pires conditions de notre époque ».
« J'avais l'habitude de l'allaiter. Mais je suis tombée malade à cause du manque de nourriture. Et elle est devenue si maigre que j'ai décidé de l'amener ici. Au moins, elle peut avoir du lait et des médicaments », a raconté Nimco Abdi, dans un entretien avec BBC, en plaçant délicatement sa petite fille de six mois sur une bassine en plastique soutenue par des cordes de sisal. La bassine a marqué 4 Kg, la moitié de ce que devrait être le poids idéal de l'enfant.
Les histoires, communiqué ci-dessus, font partie de nombreuses d’autres, des parents qui risquent de voir leurs enfants mourir de malnutrition, sachant que 1,5 milliards de dollars est suffisant pour éviter une répétition de la famine de 2011 qui avait tué 260 000 personnes.
La question qui se pose actuellement, c’est, qu’attendent les organisations internationales et les états du monde pour intervenir et sauver l’humanité de l’effondrement de l’Afrique ? l’avenir nous répondra !