« Toutes les dynasties, sans exception, se sont intéressées à la ville de Rabat de par sa situation stratégique pour la défense du pays, et l’ont dotée d’institutions culturelles et de savoir qui n’ont rien à envier à celles d’autres grandes villes du Royaume. Sa destinée sera scellée définitivement par la Dynastie Alaouite qui saura faire d’elle un centre de rayonnement patrimonial et intellectuel », dira-t-il par ailleurs.
Il a également mis l’accent sur les rôles des femmes de Rabat, jadis appelées «Sacrées femmes» issues de l’Andalousie, faisant savoir qu’elles dispensaient des cours au profit des femmes dans les Zaouïas, en plus de leurs contributions littéraires, en l’occurrence, Aisha El Ronda, la première femme journaliste marocaine.
Rabat, capitale culturelle du Royaume, capitale africaine de la culture et capitale de la culture dans le monde islamique pour l’année 2022, est une sorte de souffle vital pour Abdelkrim Bennani qui le lui rend bien à travers les multiples activités de l’Association Ribat Al Fath pour le développement durable et des écrits dont le plus récent est « Rabat, capitale de la culture ».
Dans le dernier opuscule que Abdelkrim Bennani consacre à Rabat dans son nouveau statut de « Capitale de la Culture », Rabat n’est plus seulement d’ascendance arabo-andalouse, elle assume une ouverture sur le monde et devient polyglotte en quelque sorte pour mieux communiquer, partager ses richesses historiques qui traversent les époques. « Ville connue pour être calme, paisible et il fait bon vivre, elle quitte le caractère purement administratif pour s’ouvrir à d’autres horizons qui lui confèrent un caractère multidimensionnel ».
Ce caractère se retrouve dans une ouverture linguistique que l’on retrouve dans ce même opuscule qui n’est pas écrit seulement dans une langue mais dans plusieurs : française, arabe, amazigh, anglaise, espagnole… et en mandarin.
Cette ouverture sur le monde par les langues, souligne le caractère universaliste de « Rabat, capitale de la culture » qui, même s’il n’est pas explicitement exprimé, lui confère une signature, un relief et une identité dans le pourtour méditerranéen. Abdelkrim Bennani conclut « Rabat, capitale de la culture » par ces quelques mots qui résument la démarche et confirme la vocation d’ouverture de Rabat : « La profusion des activités culturelles et artistiques organisées quotidiennement dans Rabat montre à quel point cette nouvelle dynamique imprime à la Ville Lumière un caractère d’ouverture sur le monde par la culture ».
Il a également mis l’accent sur les rôles des femmes de Rabat, jadis appelées «Sacrées femmes» issues de l’Andalousie, faisant savoir qu’elles dispensaient des cours au profit des femmes dans les Zaouïas, en plus de leurs contributions littéraires, en l’occurrence, Aisha El Ronda, la première femme journaliste marocaine.
Rabat, capitale culturelle du Royaume, capitale africaine de la culture et capitale de la culture dans le monde islamique pour l’année 2022, est une sorte de souffle vital pour Abdelkrim Bennani qui le lui rend bien à travers les multiples activités de l’Association Ribat Al Fath pour le développement durable et des écrits dont le plus récent est « Rabat, capitale de la culture ».
Dans le dernier opuscule que Abdelkrim Bennani consacre à Rabat dans son nouveau statut de « Capitale de la Culture », Rabat n’est plus seulement d’ascendance arabo-andalouse, elle assume une ouverture sur le monde et devient polyglotte en quelque sorte pour mieux communiquer, partager ses richesses historiques qui traversent les époques. « Ville connue pour être calme, paisible et il fait bon vivre, elle quitte le caractère purement administratif pour s’ouvrir à d’autres horizons qui lui confèrent un caractère multidimensionnel ».
Ce caractère se retrouve dans une ouverture linguistique que l’on retrouve dans ce même opuscule qui n’est pas écrit seulement dans une langue mais dans plusieurs : française, arabe, amazigh, anglaise, espagnole… et en mandarin.
Cette ouverture sur le monde par les langues, souligne le caractère universaliste de « Rabat, capitale de la culture » qui, même s’il n’est pas explicitement exprimé, lui confère une signature, un relief et une identité dans le pourtour méditerranéen. Abdelkrim Bennani conclut « Rabat, capitale de la culture » par ces quelques mots qui résument la démarche et confirme la vocation d’ouverture de Rabat : « La profusion des activités culturelles et artistiques organisées quotidiennement dans Rabat montre à quel point cette nouvelle dynamique imprime à la Ville Lumière un caractère d’ouverture sur le monde par la culture ».
Abdallah BENSMAÏN