
Sous le slogan "Combien de temps attendre... nos enfants sont en danger", la Coordination Nationale des Familles de Marocains Bloqués et Détenus en Syrie et en Irak, organise un stand, jeudi à 10H30, devant le ministère des affaires étrangères à Rabat, appelant l'opinion publique nationale, les organisations de défense des droits de l'homme et les médias nationaux et internationaux, à être au rendez-vous.
«Il y a plus d'un an, nous avons pris position devant le Parlement après la publication du rapport d'une commission parlementaire exploratoire qui a enquêté sur la situation des Marocains en Syrie et en Irak. Nous espérions que cela mettrait fin à la souffrance des Marocains détenus et coincés dans des conditions tragiques et dangereuses, et qu'une solution humanitaire serait trouvée pour leur retour », indique un communiqué de Coordination, qui souligne, cependant, qu’il n'y a pas eu de progrès depuis, et la situation s'est même aggravée, avec le récent tremblement de terre qui a touché la région et l'absence de nouvelles de nos enfants là-bas.
De plus, Ils ont procédé au retrait des enfants de leurs mères à l'intérieur des camps, les envoyant dans des centres de détention et même en prison avec des adultes de différentes nationalités et croyances, précise la même source.
Cette pause sentimentale intervient dans ce contexte difficile, indique la coordination qui appelle tous les militants des droits de l'homme à soutenir les familles endeuillées.
«Il y a plus d'un an, nous avons pris position devant le Parlement après la publication du rapport d'une commission parlementaire exploratoire qui a enquêté sur la situation des Marocains en Syrie et en Irak. Nous espérions que cela mettrait fin à la souffrance des Marocains détenus et coincés dans des conditions tragiques et dangereuses, et qu'une solution humanitaire serait trouvée pour leur retour », indique un communiqué de Coordination, qui souligne, cependant, qu’il n'y a pas eu de progrès depuis, et la situation s'est même aggravée, avec le récent tremblement de terre qui a touché la région et l'absence de nouvelles de nos enfants là-bas.
De plus, Ils ont procédé au retrait des enfants de leurs mères à l'intérieur des camps, les envoyant dans des centres de détention et même en prison avec des adultes de différentes nationalités et croyances, précise la même source.
Cette pause sentimentale intervient dans ce contexte difficile, indique la coordination qui appelle tous les militants des droits de l'homme à soutenir les familles endeuillées.